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- LE KREMLIN BICETRE
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Je n’ai rien contre croire en un unique Dieu,
Qui décide de tout, nous dicte notre conduite,
Qui prend la vie des jeunes, prolongeant celle des vieux,
Qui nous impose sa bible, sans en donner la suite.
Je n’ai rien contre un fils de plus de deux mille ans,
Volontaire à la mort, cloué par les romains,
Né d’une vierge mère, et d’un père vieillissant,
Pleuré par douze apôtres, dont un était vaurien.
Je n’ai rien contre croire, au diable Lucifer,
Le roi des tentations, des plaisirs interdits,
Personne n’ est revenu des flammes de l’enfer,
Baratins pour chasser nos démons de midi.
Je préfère pourtant, fréquenter la Charlotte,
Une championne de l’amour, aux terrestres douceurs,
Avec son porte- jarretelles, et sa fine culotte,
Qui de ses doigts agiles, fait chavirer mon cœur.
Je préfère la vie, dans les chambres nocturnes,
Plutôt que supporter ennuyeuse bigote,
Qui ne fait que miauler, quand les pièces tombent dans l’urne,
Qui préfère à la chair, l’anonyme carotte.
Je préfère apprécier encore plus les prochaines,
Celles qui motiveront ma vie sur cette terre.
Les chiens n’aiment pas les chats, ils préfèrent les chiennes,
Je me trouve très heureux chaque jour en enfer.
A quoi bon confesser ses pêchers aux vicieux,
Qui cachés dans leur boîte, soufflent et agitent leur main,
Qui nourrissent leurs fantasmes en regardant les cieux,
Trois « ave maria » et pardons aux vilains
Je préfère jouer au bois avec la belle Huguette,
A buter dans les souches, la coucher dans la mousse,
Que de marcher groupés avec la sœur qui quête,
J’en apprends beaucoup plus, sur le pileux des rousses.
Que chacun suive sa route, choisisse sa propre foi,
Choix d’humecter ses doigts au fond du bénitier,
A chacun sa coquille, j’en appelle au boa,
Avec Eve comme complice, et sa pomme à croquer
Qui décide de tout, nous dicte notre conduite,
Qui prend la vie des jeunes, prolongeant celle des vieux,
Qui nous impose sa bible, sans en donner la suite.
Je n’ai rien contre un fils de plus de deux mille ans,
Volontaire à la mort, cloué par les romains,
Né d’une vierge mère, et d’un père vieillissant,
Pleuré par douze apôtres, dont un était vaurien.
Je n’ai rien contre croire, au diable Lucifer,
Le roi des tentations, des plaisirs interdits,
Personne n’ est revenu des flammes de l’enfer,
Baratins pour chasser nos démons de midi.
Je préfère pourtant, fréquenter la Charlotte,
Une championne de l’amour, aux terrestres douceurs,
Avec son porte- jarretelles, et sa fine culotte,
Qui de ses doigts agiles, fait chavirer mon cœur.
Je préfère la vie, dans les chambres nocturnes,
Plutôt que supporter ennuyeuse bigote,
Qui ne fait que miauler, quand les pièces tombent dans l’urne,
Qui préfère à la chair, l’anonyme carotte.
Je préfère apprécier encore plus les prochaines,
Celles qui motiveront ma vie sur cette terre.
Les chiens n’aiment pas les chats, ils préfèrent les chiennes,
Je me trouve très heureux chaque jour en enfer.
A quoi bon confesser ses pêchers aux vicieux,
Qui cachés dans leur boîte, soufflent et agitent leur main,
Qui nourrissent leurs fantasmes en regardant les cieux,
Trois « ave maria » et pardons aux vilains
Je préfère jouer au bois avec la belle Huguette,
A buter dans les souches, la coucher dans la mousse,
Que de marcher groupés avec la sœur qui quête,
J’en apprends beaucoup plus, sur le pileux des rousses.
Que chacun suive sa route, choisisse sa propre foi,
Choix d’humecter ses doigts au fond du bénitier,
A chacun sa coquille, j’en appelle au boa,
Avec Eve comme complice, et sa pomme à croquer