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La France a bien changé depuis quatre- vingt ans,
Des gamins torturés refusaient de montrer,
De leurs doigts écrasés, leurs aînés résistants,
Avec quelques billets, hier ils l’ont livré.
Doit – on se contenter de dire, n’ont que quinze ans,
Ils ne sont pas finis, ni coupables, ni malsains.
Dans ce cas, condamnons sans délais leurs parents,
Reversons leurs alloc aux veuves et orphelins.
Nous avons confondu, liberté /libertaire,
Le résultat est là, le permissif fait loi.
Les Français fatigués ont fini par se taire
La République est morte, à force de langue de bois.
A vouloir protéger certaines minorités
Aux fins de mieux remplir des urnes municipales,
Aujourd’hui, en banlieues sont des majorités,
Leur culture imposée, c’était pourtant fatale.
Consolation cette fois, la police a tiré.
Certains se sont permis de critiquer l’action,
« fallait l' garder vivant au lieu de le buter.... »
Encore des intellos incurables en faction.
Espérons que les larmes laisse’ront place aux actions,
En mémoire au ministre qui osa un charter,
Remplissons à raz bord un maximum d’avions,
Montrons à nos ennemis que nous n’avons plus peur.
Si nos lois, liberté, et respect des cultures,
Interdisent de reprendre les espaces sinistrés,
Abdiquons, acceptons, leur cruelle dictature,
Et les plus écœurés n’auront qu’à s’exiler.
"Si tu n’aimes pas la France, il te faut la quitter"
C’est tout de même un comble, de devoir s’adresser,
A tous ceux qui adorent sa culture, son passé,
Vendredi, ce Tchétchène a peut-être bien gagné.
( juste pour détendre un peu : "là où il y a tchétchène, il n'y a pas de plaisir")
Des gamins torturés refusaient de montrer,
De leurs doigts écrasés, leurs aînés résistants,
Avec quelques billets, hier ils l’ont livré.
Doit – on se contenter de dire, n’ont que quinze ans,
Ils ne sont pas finis, ni coupables, ni malsains.
Dans ce cas, condamnons sans délais leurs parents,
Reversons leurs alloc aux veuves et orphelins.
Nous avons confondu, liberté /libertaire,
Le résultat est là, le permissif fait loi.
Les Français fatigués ont fini par se taire
La République est morte, à force de langue de bois.
A vouloir protéger certaines minorités
Aux fins de mieux remplir des urnes municipales,
Aujourd’hui, en banlieues sont des majorités,
Leur culture imposée, c’était pourtant fatale.
Consolation cette fois, la police a tiré.
Certains se sont permis de critiquer l’action,
« fallait l' garder vivant au lieu de le buter.... »
Encore des intellos incurables en faction.
Espérons que les larmes laisse’ront place aux actions,
En mémoire au ministre qui osa un charter,
Remplissons à raz bord un maximum d’avions,
Montrons à nos ennemis que nous n’avons plus peur.
Si nos lois, liberté, et respect des cultures,
Interdisent de reprendre les espaces sinistrés,
Abdiquons, acceptons, leur cruelle dictature,
Et les plus écœurés n’auront qu’à s’exiler.
"Si tu n’aimes pas la France, il te faut la quitter"
C’est tout de même un comble, de devoir s’adresser,
A tous ceux qui adorent sa culture, son passé,
Vendredi, ce Tchétchène a peut-être bien gagné.
( juste pour détendre un peu : "là où il y a tchétchène, il n'y a pas de plaisir")