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Ah la lune !
Cette insoupçonnable coquine,
Chaque soir se prépare
Pour aller au théâtre,
Voir sa pièce favorite
" Les feux de l'amour ",
Fait battre son cœur,
Illumine son minois rond
Toujours assise au premier rang.
D'un sourire magique,
Elle admire les décors romantiques,
Sous l'éclairage feutré,
De ses amies les étoiles,
Puis commence le spectacle.
Elle ne peut s'empêcher
De toujours penser
Au trac des acteurs,
Toutes ces émotions
Qui leur donnent des frissons
Tout au long de l'échine
Avant de rentrer en scène.
Enfin, le spectacle commence,
Une envolée de baisers
Entoure les vedettes
Puis souffle une brise de tendresse
En douce vague de caresses,
Rien ne lui échappe,
Les courbes, les creux, les visages.
Suit la scène phare,
Celle qu'elle affectionne,
Celle où enfin les corps,
Dans un ultime élan d’amour,
Se fondent, ne font plus qu’un
Dans un monde divin,
Des vagues de chaleur
Qui font battre leurs cœurs,
Trémousser leurs fleurs,
Enfin, fondre dans un immense bonheur.
Le rideau de la nuit tombe,
La lune reprend sa place
Sous la voûte étoilée,
Veille avec tendresse
Sur les acteurs enlacés,
Gagnés par le profond sommeil,
Cette insoupçonnable coquine,
Chaque soir se prépare
Pour aller au théâtre,
Voir sa pièce favorite
" Les feux de l'amour ",
Fait battre son cœur,
Illumine son minois rond
Toujours assise au premier rang.
D'un sourire magique,
Elle admire les décors romantiques,
Sous l'éclairage feutré,
De ses amies les étoiles,
Puis commence le spectacle.
Elle ne peut s'empêcher
De toujours penser
Au trac des acteurs,
Toutes ces émotions
Qui leur donnent des frissons
Tout au long de l'échine
Avant de rentrer en scène.
Enfin, le spectacle commence,
Une envolée de baisers
Entoure les vedettes
Puis souffle une brise de tendresse
En douce vague de caresses,
Rien ne lui échappe,
Les courbes, les creux, les visages.
Suit la scène phare,
Celle qu'elle affectionne,
Celle où enfin les corps,
Dans un ultime élan d’amour,
Se fondent, ne font plus qu’un
Dans un monde divin,
Des vagues de chaleur
Qui font battre leurs cœurs,
Trémousser leurs fleurs,
Enfin, fondre dans un immense bonheur.
Le rideau de la nuit tombe,
La lune reprend sa place
Sous la voûte étoilée,
Veille avec tendresse
Sur les acteurs enlacés,
Gagnés par le profond sommeil,