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Ah ! Douce paresse,
Celle qui ne vous botte
Jamais les fesses !
Vous laisse tout le loisir,
De dormir jusqu'au dernier soupir.
Douce paresse,
Nichée dans la tendresse,
La douceur de ses bras,
Ne pas quitter ses draps,
Ivre, elle se prélasse,
Ne pense pas au temps qui passe,
Ecoute la chanson de la vie,
Loin de tous tracas et soucis,
La liberté à toute contrainte
De dire non,le travail m'éreinte,
Pourquoi donner sa sueur
A cette société de malheur,
On n'en tire que des douleurs !
Que dire de cette morale, cette éducation,
De toute ses lamentations,
Toujours seriner la même chanson,
Aidez-vous les uns les autres,
Non dit la paresse,
Sois égoïste, de la vie profites,
Deviens cette insouciante cigale,
Non cette fourmi géniale.
Douce paresse, fainéante de l'été,
Au seuil de l'automne
Toujours se prélasser
Dans la solitude de ses draps,
N'ayant rien à grignoter,
Seules les miettes de la charité.
Trop tard hélas de penser
A une porte frapper,
Trouver aide et bonté,
Un petit boulot à partager.
Une vie de paresse vous a rejeté
Dans le trou noir de la société
Ayant pour seuls compagnons
Les regrets de n'avoir pas compris
Les vérités de la paresse,
Son chemin n'est que détresse,
Pour avoir oublié l'essentiel,
Solidarité et travail,
De la vie, des valeurs
Qui conduisent sur la route du bonheur.
Celle qui ne vous botte
Jamais les fesses !
Vous laisse tout le loisir,
De dormir jusqu'au dernier soupir.
Douce paresse,
Nichée dans la tendresse,
La douceur de ses bras,
Ne pas quitter ses draps,
Ivre, elle se prélasse,
Ne pense pas au temps qui passe,
Ecoute la chanson de la vie,
Loin de tous tracas et soucis,
La liberté à toute contrainte
De dire non,le travail m'éreinte,
Pourquoi donner sa sueur
A cette société de malheur,
On n'en tire que des douleurs !
Que dire de cette morale, cette éducation,
De toute ses lamentations,
Toujours seriner la même chanson,
Aidez-vous les uns les autres,
Non dit la paresse,
Sois égoïste, de la vie profites,
Deviens cette insouciante cigale,
Non cette fourmi géniale.
Douce paresse, fainéante de l'été,
Au seuil de l'automne
Toujours se prélasser
Dans la solitude de ses draps,
N'ayant rien à grignoter,
Seules les miettes de la charité.
Trop tard hélas de penser
A une porte frapper,
Trouver aide et bonté,
Un petit boulot à partager.
Une vie de paresse vous a rejeté
Dans le trou noir de la société
Ayant pour seuls compagnons
Les regrets de n'avoir pas compris
Les vérités de la paresse,
Son chemin n'est que détresse,
Pour avoir oublié l'essentiel,
Solidarité et travail,
De la vie, des valeurs
Qui conduisent sur la route du bonheur.