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Rencontre L'amour à la folie

patgui

Grand poète
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LE KREMLIN BICETRE
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#1
De gauche à droite tu peux tourner elle te suivra.
Vinci lui a donné tel regard à ses yeux,
Que chacun le croisant tomberait amoureux,
Comment ne pas s’éprendre de toi Mona Lisa.

C’est ainsi qu’une mère, voulant instruire son fils,
Au Louvre, elle le plaça devant la belle dame.
Léonard dans son cœur, ressentit une flamme,
Qui des années plus tard, n’a jamais plus faibli.

Au -dessus de son lit, elle lui colla l’image,
Une reproduction fidèle tout de même,
Chaque soir au coucher, il lui disait « je t’aime »,
Devenu grand garçon, ses nuits furent moins sages.

Quand il gagna sa vie, il prit un abonnement,
Pour aller admirer le tableau de Vinci,
A chaque fois dans les yeux, de la Mona il vit,
Une réponse à son cœur sur des charbons ardents.

Après quelques années, la folie le gagna,
La copie dans sa chambre devint insuffisante,
Pour calmer sa passion devenue trop brûlante,
Devant des japonais, sur le tableau se rua.

Les gardiens confrontés aux manies du manant,
A mains nues, lui apprirent qu’elles sont les bonnes manières,
On ne manie Mona, ainsi à la légère,
Léonard à l’asile fut jeté pour longtemps.
 
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21 Octobre 2018
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#6
De gauche à droite tu peux tourner elle te suivra.
Vinci lui a donné tel regard à ses yeux,
Que chacun le croisant tomberait amoureux,
Comment ne pas s’éprendre de toi Mona Lisa.

C’est ainsi qu’une mère, voulant instruire son fils,
Au Louvre, elle le plaça devant la belle dame.
Léonard dans son cœur, ressentit une flamme,
Qui des années plus tard, n’a jamais plus faibli.

Au -dessus de son lit, elle lui colla l’image,
Une reproduction fidèle tout de même,
Chaque soir au coucher, il lui disait « je t’aime »,
Devenu grand garçon, ses nuits furent moins sages.

Quand il gagna sa vie, il prit un abonnement,
Pour aller admirer le tableau de Vinci,
A chaque fois dans les yeux, de la Mona il vit,
Une réponse à son cœur sur des charbons ardents.

Après quelques années, la folie le gagna,
La copie dans sa chambre devint insuffisante,
Pour calmer sa passion devenue trop brûlante,
Devant des japonais, sur le tableau se rua.

Les gardiens confrontés aux manies du manant,
A mains nues, lui apprirent qu’elles sont les bonnes manières,
On ne manie Mona, ainsi à la légère,
Léonard à l’asile fut jeté pour longtemps.
Super. Cela ne me serait pas venu al'idée
Amitiés poétiques
Gaby
 
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