Hors ligne
Trois heures du matin, dieu comme le temps passe
Nous sommes assis là à se faire des câlins,
tu m'embrasses au cou, me pelote les seins
Ce n'est pas poétique et cela vous agace,
C'est la réalité quand on a de l'audace.
Mon joli corps parfait livré entre tes mains
la chaleur de ton souffle et tes dents sans venin
Ô ton épée si droite en ce fer de Damas
Caresse mon fourreau, entre en ma profondeur
me transperce encore, Ô l'ange est en sueur
Hum nos coeurs s'emballent, mais tu gardes le rythme
Mes jambes s'accrochent tout autour de tes reins,
Je gémis de plaisir, c'est un des algorithmes,
étape de l'amour que j'aimerais sans fin.
Pauline
(je n'ai pas l'habitude des sonnets)
mais je tente le coup
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