Hors ligne
C’est irrépressible !
Je la veux en merveille comme je vois clairement toutes les facettes d’elle qui l’estiment à mes Yeux! Qui l’estimaient déjà, dites le lui maintenant, l’espace d’un temps murmuré à mes diverses raisons, l’espace d’un élan, d’une tension fertile vers ce besoin de déjà la connaître, de déjà l’adorer avant même de la rencontrer.
Car je suis de ceux qui accordent tous leurs sens aux bruits qui courent afin de mieux les rêver, à ma façon, les rêver plus immense par de volontaires intuitions, ainsi s’articule ma voix pour qu’elle puisse se réaliser comme je l’entends.
Quel est son nom ? -Résonne- Est-elle belle ? –dessinée de Lueur- Vient-elle tout juste d’arriver ? –Patience-
D’innocentes réponses dérobées sous des vents subtils fascinèrent un monde pour l’accueillir, fondèrent d’insondables désirs que je pourrais lui offrir le long d’un chemin secret que je saurais au fil des jours lui raconter pour lui plaire, envoûtant chant des Chimères, brume piquée d’or et mots d’autres sens, accentués des mélodieux silences d’une langue inconnue, que j’inventerais pour elle et que l’on n’apprendrai qu’ensemble, pour ensemble, ne jamais avoir à la prononcer devant quiconque.
C’est en sphinx que je me présente à elle et derrière les sons d’introduction résonnent ces énigmes qui me séduisent d’avance.
Pourquoi Elle si pâle dans ce monde fatalement à la recherche du Soleil ? -son écho transperçant l’immobilité de cavernes primordiales-
Pourquoi enthousiaste sa fragilité que je pourrais traduire instantanément, aveugle, puisqu’elle est la mienne? -son écho vacillant d’une nouvelle lumière sur ces mêmes objets d’illusions, maintes fois manipulés-
Pourquoi cette même langue maternelle que l’on m’avait arrachée et qu’en face d’elle je recompose avec tant d’aisance ? -rayon de sa géniale différence, cette confiance si rare que je perds sans cesse ou que je ne sais que perdre-
Dites seulement à l’inconscient qui se condamne, sous quelles lois la grammaire de son être m’autorise-t-elle à accorder l’inaccessible avec l’espoir, et je vous dirais en quoi elle est sublime et comment je le sais, pourquoi elle si fabuleusement ici et moi à ce point désormais…
*
Il y a, dissimulé en elle, ces horizons féminins qui s’organise contre la démesure et l’autodestruction,
ces horizons qui chercheront toujours à me guérir et que j’ai fait miens sous l’oblique d’un autre ciel,
tout en image et si solitaire, un chemin de traverse que j’ai appris à synthétiser plus caressant, plus apaisé.
Il y a dans mes souffrances ressassées, un vaccin sous-entendu que je lui propose sans violence, afin d’atteindre une autre échelle en direction de sa grâce.
Non mes Yeux, n’implorez pas une lumière qu’il vous est désormais dévolu de rendre ! A votre tour, éclairez cette femme de vos passés minutieusement conservés, éclairez la qu’elle voit parler dans ces miroirs qui sont les vôtres, qui ne savent se taire pour les autres, l’évidence de tout ce qu’elle n’est pas vide, de tout ce qu’elle n’est pas petite, de ce que vous savez déjà d’elle en admirant son simple courage d’être humaine, de toutes ces terreurs qu’ils vous aura fallu affronter aussi avant d’accepter l’idée qu’une vie se bâti comme une suite de présents incertains, que l’on parvient, au mieux, à ressentir en persistant sur ses propres cohérences, de mémoires qui figent l’intérêt même d’avoir peur, de paroles pour transformer ce qu’est l’affreux vertige de perdre en pouvoir de s’émouvoir, en frissons curieux pour de nouvelles icônes.
Ô l’absolue vertu de ces présents successifs qu’il nous faut entendre l’un après l’autre -malgré les contrastes- puis l’un mêlé à l’autre –fugue du temps qui passe- le précédent au service harmonieux de celui qu’il précède, le prochain respectueux de celui qu’il recouvrira peu à peu pour l’élever, comme guident les étoiles.
Il y a, dans ce que je vois en elle, bien plus qu’une réconfortante pitié administrée entre âmes semblables, éperdues de tristesses. Il y a dans mes malheurs virtuels -non, dans l’expérience de mes malheurs vécus à l’écart- une clef qui s’est forgée d’elle-même, une clef que je discerne à peine mais dont je crie l’existence, et qui ouvre parfois la sombre boîte qui pèse sur les épaules d’autres anges qui me ressemble.
C’est ainsi que je les reconnais, particulier et bleus à l’intérieur, aux autres, trop asynchrone pour en être avisés, des soleils que l’on prétend invincibles, des sourires que l’on croirait n’avoir jamais doutés.
Des êtres qui pourtant attirent à eux, les peines comme une habitude. Des spasmes réceptifs, des esprits réceptacle, gorgés, saturés de rêves, de frustrations étrangères; cet opium de leurs amicalité qui devient un jour ce même poison qui les bride.
Et, rendu anonyme par des tristesses qui ne sont pas les leurs, apprenez qu’ils distillent la Nuit la matière insoutenable dont on les charge, et se réveillent sans avoir su dormir, se réveillent d’un Demain plus usé, toujours plus enserrés par ce qu’on les imagine capables d’endurer pour nous.
Demain toujours plus usé, en oublierons de fabriquer les armes de leurs bonheurs, et se retrouverons démunis devant ce qu’il leur reste à vivre pour eux.
Apprenez la dévotion naturelle qui anime les empathiques à vous aimer, et sachez qu’elle n’a rien d’un métier que l’on pourrait endurer toute sa vie. Et comprenez ceci que vous pourriez bien devenir l’ange malmené d’un autre quelqu’un, ou peut-être même de ce quelqu’un qui fut anciennement particulier et bleu pour vous, mais que vous aurez trop pressé de ces lâches contradictions qu’il vous appartenait de résoudre,
ces maux dont tout le monde souffre et dont on ne peut infiniment se délester sans se retrouver un jour devant d’insolubles remises en question, Seul.
Et ceux qui aurons l’habitude d’alambiquer le Noir, plus noir des sempiternelles nuits à pleurer, renaîtrons, eux, en élixirs d’autres couleurs, comme le font les Animaux qui se doivent d’être magiques.
*
Non, d’aucune pitié réciproque, elle n’en a pas besoin, moi non plus, et je n’y pense même plus ! Lugubre aux hommes, le cri du Loup est empli des joies qui traversent la Nuit !
Meute, cherche-t-elle une meute pour courir à la Lune lointaine? Mes crocs pour la servir ! Elle, que j’ai toujours vu jeune, douce mais féroce implicite, belle comme la Louve que je brûlerais d’avoir déjà connu et à qui j’aurais déjà offert mes plus belles frénésies.
…Et ces dentelles qui l’illuminent, ô délicate révolte, tournoyante malheureuse pleine de grâce, ô sa noblesse nerveuse et sa force éclatante même dans ses plus fines, ses plus vulnérables postures... ô ses sourires chaleureux, devinants et tragiques, sa sensibilité sage comme une science millénaire, terrible comme une clairvoyance tourmentée... ô toutes ses merveilles si précises, ses étincelles savantes qui peu à peu me la dévoile comme je l’ai rêvée, ou comme je l’ai perçu une Nuit -peut-être était-ce une vision à lui offrir- Reine respectée devant milles agressives énergies mâles se prosternant, enfin dociles à ses pieds, pour se faire pardonner comme elle le mérite.
Ô ses tournoyantes révoltes, sa danse d’innocence résolue... et ce mal injuste comme un spectre virevoltant tout autour d’elle, et mon regard se rebellant, défie les ombres, se lève, et vient enrouler ses voiles embrasées comme de soyeux serpents pour ses gestes, de caressants mouvements pour accompagner les aléas de son corps et s’élever sous la dentelle, en volutes lumineuses de frissons irisant sa peau, et s’élever encore, brise de mes plus audacieux fantasmes, et sur ses lèvres poser la première de mes illusions, mon baiser pour elle et sa douce brûlure.
*
Ah ! L’électricité de mes juvéniles fanatismes, ces inspirations qui me reviennent sans complexe!
Pauvre de moi qui n’ai jamais eu mille ans qu’en prétention. Non mes Yeux, ne soyez pas si perçants ! Ne lui avouez pas plus que ce qu’elle veut bien vous offrir ! Non mes griffes, détournez vos désirs vers d’inoffensives expressions ! Une meute bienveillante, pour l’aimer et révéler cette flamme qu’elle porte, et la porter avec elle comme étendard de sauvages splendeurs, en son nom je veux bien me consumer, et protéger ce que toute entière elle est faites de promesses à ce monde.
A la pelle mes passions jetés dans une fournaise intérieure, mon âme, désormais, sera trempée, alliage des légendes, dans l’acier le plus étincelant, dans l’or le plus ductile.
A la maîtrise de mes innombrables feux se forgera, pièces après pièces, mes armes de l’Art, solides et ciselés.
Ouvrages des années, reflets des saisons, lourde patience d’avoir trop ressenti,
et l’entêtement léger de l’artisan, ses gestes qui s’affirment.
Qu’elle croit comme je crois avec ferveur l’un de mes plus anciens mantras : « Lorsqu’il n’a plus rien à détruire, le Feu se met à créer et devient ce prodige qui saura se donner. » Qu’elle me croit car nous sommes tous deux du Feu et que j’ai appris à connaître toute l’ambiguïté de ce signe...
(à suivre...)
2016 (protégé par droits d'auteur)
Je la veux en merveille comme je vois clairement toutes les facettes d’elle qui l’estiment à mes Yeux! Qui l’estimaient déjà, dites le lui maintenant, l’espace d’un temps murmuré à mes diverses raisons, l’espace d’un élan, d’une tension fertile vers ce besoin de déjà la connaître, de déjà l’adorer avant même de la rencontrer.
Car je suis de ceux qui accordent tous leurs sens aux bruits qui courent afin de mieux les rêver, à ma façon, les rêver plus immense par de volontaires intuitions, ainsi s’articule ma voix pour qu’elle puisse se réaliser comme je l’entends.
Quel est son nom ? -Résonne- Est-elle belle ? –dessinée de Lueur- Vient-elle tout juste d’arriver ? –Patience-
D’innocentes réponses dérobées sous des vents subtils fascinèrent un monde pour l’accueillir, fondèrent d’insondables désirs que je pourrais lui offrir le long d’un chemin secret que je saurais au fil des jours lui raconter pour lui plaire, envoûtant chant des Chimères, brume piquée d’or et mots d’autres sens, accentués des mélodieux silences d’une langue inconnue, que j’inventerais pour elle et que l’on n’apprendrai qu’ensemble, pour ensemble, ne jamais avoir à la prononcer devant quiconque.
C’est en sphinx que je me présente à elle et derrière les sons d’introduction résonnent ces énigmes qui me séduisent d’avance.
Pourquoi Elle si pâle dans ce monde fatalement à la recherche du Soleil ? -son écho transperçant l’immobilité de cavernes primordiales-
Pourquoi enthousiaste sa fragilité que je pourrais traduire instantanément, aveugle, puisqu’elle est la mienne? -son écho vacillant d’une nouvelle lumière sur ces mêmes objets d’illusions, maintes fois manipulés-
Pourquoi cette même langue maternelle que l’on m’avait arrachée et qu’en face d’elle je recompose avec tant d’aisance ? -rayon de sa géniale différence, cette confiance si rare que je perds sans cesse ou que je ne sais que perdre-
Dites seulement à l’inconscient qui se condamne, sous quelles lois la grammaire de son être m’autorise-t-elle à accorder l’inaccessible avec l’espoir, et je vous dirais en quoi elle est sublime et comment je le sais, pourquoi elle si fabuleusement ici et moi à ce point désormais…
*
Il y a, dissimulé en elle, ces horizons féminins qui s’organise contre la démesure et l’autodestruction,
ces horizons qui chercheront toujours à me guérir et que j’ai fait miens sous l’oblique d’un autre ciel,
tout en image et si solitaire, un chemin de traverse que j’ai appris à synthétiser plus caressant, plus apaisé.
Il y a dans mes souffrances ressassées, un vaccin sous-entendu que je lui propose sans violence, afin d’atteindre une autre échelle en direction de sa grâce.
Non mes Yeux, n’implorez pas une lumière qu’il vous est désormais dévolu de rendre ! A votre tour, éclairez cette femme de vos passés minutieusement conservés, éclairez la qu’elle voit parler dans ces miroirs qui sont les vôtres, qui ne savent se taire pour les autres, l’évidence de tout ce qu’elle n’est pas vide, de tout ce qu’elle n’est pas petite, de ce que vous savez déjà d’elle en admirant son simple courage d’être humaine, de toutes ces terreurs qu’ils vous aura fallu affronter aussi avant d’accepter l’idée qu’une vie se bâti comme une suite de présents incertains, que l’on parvient, au mieux, à ressentir en persistant sur ses propres cohérences, de mémoires qui figent l’intérêt même d’avoir peur, de paroles pour transformer ce qu’est l’affreux vertige de perdre en pouvoir de s’émouvoir, en frissons curieux pour de nouvelles icônes.
Ô l’absolue vertu de ces présents successifs qu’il nous faut entendre l’un après l’autre -malgré les contrastes- puis l’un mêlé à l’autre –fugue du temps qui passe- le précédent au service harmonieux de celui qu’il précède, le prochain respectueux de celui qu’il recouvrira peu à peu pour l’élever, comme guident les étoiles.
Il y a, dans ce que je vois en elle, bien plus qu’une réconfortante pitié administrée entre âmes semblables, éperdues de tristesses. Il y a dans mes malheurs virtuels -non, dans l’expérience de mes malheurs vécus à l’écart- une clef qui s’est forgée d’elle-même, une clef que je discerne à peine mais dont je crie l’existence, et qui ouvre parfois la sombre boîte qui pèse sur les épaules d’autres anges qui me ressemble.
C’est ainsi que je les reconnais, particulier et bleus à l’intérieur, aux autres, trop asynchrone pour en être avisés, des soleils que l’on prétend invincibles, des sourires que l’on croirait n’avoir jamais doutés.
Des êtres qui pourtant attirent à eux, les peines comme une habitude. Des spasmes réceptifs, des esprits réceptacle, gorgés, saturés de rêves, de frustrations étrangères; cet opium de leurs amicalité qui devient un jour ce même poison qui les bride.
Et, rendu anonyme par des tristesses qui ne sont pas les leurs, apprenez qu’ils distillent la Nuit la matière insoutenable dont on les charge, et se réveillent sans avoir su dormir, se réveillent d’un Demain plus usé, toujours plus enserrés par ce qu’on les imagine capables d’endurer pour nous.
Demain toujours plus usé, en oublierons de fabriquer les armes de leurs bonheurs, et se retrouverons démunis devant ce qu’il leur reste à vivre pour eux.
Apprenez la dévotion naturelle qui anime les empathiques à vous aimer, et sachez qu’elle n’a rien d’un métier que l’on pourrait endurer toute sa vie. Et comprenez ceci que vous pourriez bien devenir l’ange malmené d’un autre quelqu’un, ou peut-être même de ce quelqu’un qui fut anciennement particulier et bleu pour vous, mais que vous aurez trop pressé de ces lâches contradictions qu’il vous appartenait de résoudre,
ces maux dont tout le monde souffre et dont on ne peut infiniment se délester sans se retrouver un jour devant d’insolubles remises en question, Seul.
Et ceux qui aurons l’habitude d’alambiquer le Noir, plus noir des sempiternelles nuits à pleurer, renaîtrons, eux, en élixirs d’autres couleurs, comme le font les Animaux qui se doivent d’être magiques.
*
Non, d’aucune pitié réciproque, elle n’en a pas besoin, moi non plus, et je n’y pense même plus ! Lugubre aux hommes, le cri du Loup est empli des joies qui traversent la Nuit !
Meute, cherche-t-elle une meute pour courir à la Lune lointaine? Mes crocs pour la servir ! Elle, que j’ai toujours vu jeune, douce mais féroce implicite, belle comme la Louve que je brûlerais d’avoir déjà connu et à qui j’aurais déjà offert mes plus belles frénésies.
…Et ces dentelles qui l’illuminent, ô délicate révolte, tournoyante malheureuse pleine de grâce, ô sa noblesse nerveuse et sa force éclatante même dans ses plus fines, ses plus vulnérables postures... ô ses sourires chaleureux, devinants et tragiques, sa sensibilité sage comme une science millénaire, terrible comme une clairvoyance tourmentée... ô toutes ses merveilles si précises, ses étincelles savantes qui peu à peu me la dévoile comme je l’ai rêvée, ou comme je l’ai perçu une Nuit -peut-être était-ce une vision à lui offrir- Reine respectée devant milles agressives énergies mâles se prosternant, enfin dociles à ses pieds, pour se faire pardonner comme elle le mérite.
Ô ses tournoyantes révoltes, sa danse d’innocence résolue... et ce mal injuste comme un spectre virevoltant tout autour d’elle, et mon regard se rebellant, défie les ombres, se lève, et vient enrouler ses voiles embrasées comme de soyeux serpents pour ses gestes, de caressants mouvements pour accompagner les aléas de son corps et s’élever sous la dentelle, en volutes lumineuses de frissons irisant sa peau, et s’élever encore, brise de mes plus audacieux fantasmes, et sur ses lèvres poser la première de mes illusions, mon baiser pour elle et sa douce brûlure.
*
Ah ! L’électricité de mes juvéniles fanatismes, ces inspirations qui me reviennent sans complexe!
Pauvre de moi qui n’ai jamais eu mille ans qu’en prétention. Non mes Yeux, ne soyez pas si perçants ! Ne lui avouez pas plus que ce qu’elle veut bien vous offrir ! Non mes griffes, détournez vos désirs vers d’inoffensives expressions ! Une meute bienveillante, pour l’aimer et révéler cette flamme qu’elle porte, et la porter avec elle comme étendard de sauvages splendeurs, en son nom je veux bien me consumer, et protéger ce que toute entière elle est faites de promesses à ce monde.
A la pelle mes passions jetés dans une fournaise intérieure, mon âme, désormais, sera trempée, alliage des légendes, dans l’acier le plus étincelant, dans l’or le plus ductile.
A la maîtrise de mes innombrables feux se forgera, pièces après pièces, mes armes de l’Art, solides et ciselés.
Ouvrages des années, reflets des saisons, lourde patience d’avoir trop ressenti,
et l’entêtement léger de l’artisan, ses gestes qui s’affirment.
Qu’elle croit comme je crois avec ferveur l’un de mes plus anciens mantras : « Lorsqu’il n’a plus rien à détruire, le Feu se met à créer et devient ce prodige qui saura se donner. » Qu’elle me croit car nous sommes tous deux du Feu et que j’ai appris à connaître toute l’ambiguïté de ce signe...
(à suivre...)
2016 (protégé par droits d'auteur)
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