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Le couvoir.
Sa braise dont l'émail semble de loin pleuvoir
Ne rougit plus le ciel et la douce enveloppe
Du soleil glorieux sous l'illustre varlope
D'un étrange huchier reste impossible à voir,
Et cet archange las de son faste savoir
Damasquine l'étain du fond de son échoppe
Et aux mers le métal que le poète écope
À coup de lettre d'or fait la nuit se mouvoir ;
Puis l'artiste la nuit, écrira l'apogée
Des étoiles d'onyx dormant sous l'hypogée
Des astres d'Orion pour sa belle émouvoir,
Et meurt l'ébène éclair en ce large théâtre
Qu'impossible là-bas ne rougoie en son âtre
Car dit, oui c'est l'amour, qui nait en ce couvoir...
Sa braise dont l'émail semble de loin pleuvoir
Ne rougit plus le ciel et la douce enveloppe
Du soleil glorieux sous l'illustre varlope
D'un étrange huchier reste impossible à voir,
Et cet archange las de son faste savoir
Damasquine l'étain du fond de son échoppe
Et aux mers le métal que le poète écope
À coup de lettre d'or fait la nuit se mouvoir ;
Puis l'artiste la nuit, écrira l'apogée
Des étoiles d'onyx dormant sous l'hypogée
Des astres d'Orion pour sa belle émouvoir,
Et meurt l'ébène éclair en ce large théâtre
Qu'impossible là-bas ne rougoie en son âtre
Car dit, oui c'est l'amour, qui nait en ce couvoir...