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Hors ligne
« Le soleil Africain exubérant fulgure
La brise a remué ses épaisseurs de feu
Et son frisson salin me jette à la figure
Ses tièdes puanteurs qui montent du lac bleu
Pauvre lac, que l’été dessèche et diminue
Et que ronge la vase insatiablement
Eau limoneuse,
A qui le reflet de la nue
Inflige en fer d’azur un vaste embrasement
En son ilot là-bas, le fort Castillon veille
Brisant à ses créneaux l’importune clarté
Seul. Le silence, la visite vermeille
Console son ennui et sa caducité »
J'ai oublié le nom de l'auteur
La brise a remué ses épaisseurs de feu
Et son frisson salin me jette à la figure
Ses tièdes puanteurs qui montent du lac bleu
Pauvre lac, que l’été dessèche et diminue
Et que ronge la vase insatiablement
Eau limoneuse,
A qui le reflet de la nue
Inflige en fer d’azur un vaste embrasement
En son ilot là-bas, le fort Castillon veille
Brisant à ses créneaux l’importune clarté
Seul. Le silence, la visite vermeille
Console son ennui et sa caducité »
J'ai oublié le nom de l'auteur