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Le lyrisme d'Hugo appliqué au présent ...
Le siècle a vingt cinq ans et il faudrait qu'il parte
Car de bien gouverner amplement il s'écarte
Si en Europe hélas il a petit emploi
Au règne hexagonal il est un peu étroit
Marianne n'est plus la dame qu'il cajole
D'un vent déficitaire la république est folle
Né d'un hasard étrange et cruel à la fois
Il a multiplié ce que le pays doit.
Sa vision obscurcie sur la France prospère
Lui fait mettre le nez dans un excès affaires
Et voulant dominer aux pays des euros
La dette de la France grossit au grand galop.
Sont-ce ses gestionnaires incapable ou bien ivres
Ignorant ce que coûte le nécessaire pour vivre.
Il faudra bien qu’il parte ce sera un beau jour
Ne pouvant résister à trop de désamour
La France pour retrouver une gloire effacée
Choisira mieux ses hommes au pouvoir destinés Et le coq excité ne se dérobant pas
Réveillera tous ceux ceux qui fuiront les dégâts.
Ô amour du pays ! amour que nul n’oublie !
Évite qu’au pouvoir le sot se multiplie
Et gardant tes euros pour le coq en danger
Évite les ponctions faites par l’étranger .
Évadons-nous sans peur d’une époque douteuse
Où l’incapacité rend France malheureuse
Fuyons les politiques à la langue menteuse
Aux mots exagérés aux idées pernicieuses
Et ne laissons passer jamais la moindre erreur
Le pouvoir ne doit pas échoir à des menteurs
Il est temps d’éveiller un esprit de défense
Qui ne proteste pas n’a point d’intelligence
Et ne pas se soucier des malheurs du moment
C’est appauvrir déjà l’avenir des enfants.
Il viendra bien un jour où cessera l’orage
Où l’argent subira un judicieux partage
Le pays fut jadis bien souvent éprouvé
Il fallut du courage pour qu’il soit ravivé
Sans excès de discours sans stupides pensées
Il nous faut retrouver les bonheurs du passé.
Certes il faudra ramer ensemble pour le mieux
Ne plus croire aux partis qui ne pensent qu’à eux
Éviter des discours que colportent les ondes
Et qui oublient la France en s’occupant du monde
Ce que France a souffert ce qui fut mal tenté
Est le fruit politique de l’incapacité
Il nous faut réussir rien que pour la jeunes
Éjectons les nuisibles fuyons les maladresses
Il faut un avenir sans haine sans dépit
De refuser les sots nous devons être épris
N’ayons que de logiques et de saines pensées
Refusons les partis cherchant à disperser.
Ne re-élisons plus d’infâmes prometteurs
Porteurs des riens cachant de demain les malheurs.
Le siècle a vingt cinq ans et il faudrait qu'il parte
Car de bien gouverner amplement il s'écarte
Si en Europe hélas il a petit emploi
Au règne hexagonal il est un peu étroit
Marianne n'est plus la dame qu'il cajole
D'un vent déficitaire la république est folle
Né d'un hasard étrange et cruel à la fois
Il a multiplié ce que le pays doit.
Sa vision obscurcie sur la France prospère
Lui fait mettre le nez dans un excès affaires
Et voulant dominer aux pays des euros
La dette de la France grossit au grand galop.
Sont-ce ses gestionnaires incapable ou bien ivres
Ignorant ce que coûte le nécessaire pour vivre.
Il faudra bien qu’il parte ce sera un beau jour
Ne pouvant résister à trop de désamour
La France pour retrouver une gloire effacée
Choisira mieux ses hommes au pouvoir destinés Et le coq excité ne se dérobant pas
Réveillera tous ceux ceux qui fuiront les dégâts.
Ô amour du pays ! amour que nul n’oublie !
Évite qu’au pouvoir le sot se multiplie
Et gardant tes euros pour le coq en danger
Évite les ponctions faites par l’étranger .
Évadons-nous sans peur d’une époque douteuse
Où l’incapacité rend France malheureuse
Fuyons les politiques à la langue menteuse
Aux mots exagérés aux idées pernicieuses
Et ne laissons passer jamais la moindre erreur
Le pouvoir ne doit pas échoir à des menteurs
Il est temps d’éveiller un esprit de défense
Qui ne proteste pas n’a point d’intelligence
Et ne pas se soucier des malheurs du moment
C’est appauvrir déjà l’avenir des enfants.
Il viendra bien un jour où cessera l’orage
Où l’argent subira un judicieux partage
Le pays fut jadis bien souvent éprouvé
Il fallut du courage pour qu’il soit ravivé
Sans excès de discours sans stupides pensées
Il nous faut retrouver les bonheurs du passé.
Certes il faudra ramer ensemble pour le mieux
Ne plus croire aux partis qui ne pensent qu’à eux
Éviter des discours que colportent les ondes
Et qui oublient la France en s’occupant du monde
Ce que France a souffert ce qui fut mal tenté
Est le fruit politique de l’incapacité
Il nous faut réussir rien que pour la jeunes
Éjectons les nuisibles fuyons les maladresses
Il faut un avenir sans haine sans dépit
De refuser les sots nous devons être épris
N’ayons que de logiques et de saines pensées
Refusons les partis cherchant à disperser.
Ne re-élisons plus d’infâmes prometteurs
Porteurs des riens cachant de demain les malheurs.