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Le mal que tu m’as laissé
N’a point de remède
C'est comme s'il avait juré
De demeurer en moi
Jusqu'à la fin de mes jours
À quoi bon verser des larmes
Ou de se plaindre..
Si, Comme cette lampe sans pétrole
L’âme commence à s'éteindre
Tu m'as soustrait à la vie
Je prie Dieu
Pour Qu'il me venge dans ma mort
N’a point de remède
C'est comme s'il avait juré
De demeurer en moi
Jusqu'à la fin de mes jours
À quoi bon verser des larmes
Ou de se plaindre..
Si, Comme cette lampe sans pétrole
L’âme commence à s'éteindre
Tu m'as soustrait à la vie
Je prie Dieu
Pour Qu'il me venge dans ma mort
Un jour, avant la tombée de la nuit
Mon âme, comme un ramier, te rendra visite
Il se posera en douceur sur le mur de ta maison
Quand de sa voix il t’adressera un salut
Regarde le bien dans les yeux
Pour voir les cicatrices
De tes trahisons
Mon âme, comme un ramier, te rendra visite
Il se posera en douceur sur le mur de ta maison
Quand de sa voix il t’adressera un salut
Regarde le bien dans les yeux
Pour voir les cicatrices
De tes trahisons
Ou peut-être, à l'improviste un jour
Viendra-t-il en oiseau nocturne
À travers l’entrebâillement de ta porte
Tu verras ses yeux en pleurs
Il te parlera de celui que tu as quitté
Sans te soucier de son malheur
Alors il viendra chaque soir
Pour Troubler ton sommeil
Et un jour, dans l’au-delà
Tu m'auras pour voisin
Tous Ceux qui comptaient t'avoir
Seront trahis par le destin
Parce que ce jour là
Tu viendras jusqu’à moi
( Chanson de Ait Mengullet
Traduite du kabyle )
Viendra-t-il en oiseau nocturne
À travers l’entrebâillement de ta porte
Tu verras ses yeux en pleurs
Il te parlera de celui que tu as quitté
Sans te soucier de son malheur
Alors il viendra chaque soir
Pour Troubler ton sommeil
Et un jour, dans l’au-delà
Tu m'auras pour voisin
Tous Ceux qui comptaient t'avoir
Seront trahis par le destin
Parce que ce jour là
Tu viendras jusqu’à moi
( Chanson de Ait Mengullet
Traduite du kabyle )
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