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Le père Noël ne peut en mille lieux tout faire
Remercions aussi les muses culinaires
Vivant dans les faubourgs des environs du ciel
Qui donc alla chercher les lutins de Noël
Afin d’aider les muses qui en ces jours de fêtes
Eurent de la besogne au dessus de la tête.
Car on on se régala, elles furent incroyables
À séduire les gourmands qui les pieds sous les tables
Détruisent leurs chefs d’œuvre en s’emplissant la panse
Sans rendre un tendre hommage à leur persévérance.
Eh bien, pendant le temps du travail des fêtes
Les bouches des lutins aux bises furent prêtes
À la moindre fatigue un baiser dans le cou,
La pause du lutin est un plaisir bien doux.
Un peu de sueur au front il vous épongera
Un moment de déprime il vous prend dans ses bras
Je me suis laissé dire qu’il est parfois farouche
Et qu’il peut consoler vos lèvres de sa bouche.
Bref je n’insiste pas, je crois au bon barbu
Mais sans l’aide des fées il n’eut pas survécu.
Je souhaite des bonheurs à faire pâlir le ciel
À celles dont les mains font de Joyeux Noëls.
Post-scriptum :
Quant au jour de l’an neuf où elles bossent à nouveau
Sachez les recouvrir de fleurs et de cadeaux.
Sinon l’année prochaine désertant la coutume.
Vous réveillonnerez d’un potage aux légumes
Remercions aussi les muses culinaires
Vivant dans les faubourgs des environs du ciel
Qui donc alla chercher les lutins de Noël
Afin d’aider les muses qui en ces jours de fêtes
Eurent de la besogne au dessus de la tête.
Car on on se régala, elles furent incroyables
À séduire les gourmands qui les pieds sous les tables
Détruisent leurs chefs d’œuvre en s’emplissant la panse
Sans rendre un tendre hommage à leur persévérance.
Eh bien, pendant le temps du travail des fêtes
Les bouches des lutins aux bises furent prêtes
À la moindre fatigue un baiser dans le cou,
La pause du lutin est un plaisir bien doux.
Un peu de sueur au front il vous épongera
Un moment de déprime il vous prend dans ses bras
Je me suis laissé dire qu’il est parfois farouche
Et qu’il peut consoler vos lèvres de sa bouche.
Bref je n’insiste pas, je crois au bon barbu
Mais sans l’aide des fées il n’eut pas survécu.
Je souhaite des bonheurs à faire pâlir le ciel
À celles dont les mains font de Joyeux Noëls.
Post-scriptum :
Quant au jour de l’an neuf où elles bossent à nouveau
Sachez les recouvrir de fleurs et de cadeaux.
Sinon l’année prochaine désertant la coutume.
Vous réveillonnerez d’un potage aux légumes