Hors ligne
Dans le désert aride de la solitude,
Je creuse l’hypogée de mon amour défunt ;
Et dans son sarcophage de décrépitude,
Son reste funéraire attend la fin des fins.
Mon amour était grand, puissant et bienfaiteur
Eperdument épris de sa déesse reine,
Régnant dans le partage et l’harmonie sereine,
Vassal de ses envie, Pharaon de son cœur.
Mais l’intrigante amante éprouva le désir
De détourner les yeux devers son bien-aimé,
S’amouracher bien tôt d’un autre à conquérir.
Poignardé dans le dos, agonisant martyr,
Mon amour s’effondra, trahi, assassiné.
Et je porte son deuil en chaque souvenir.
Je creuse l’hypogée de mon amour défunt ;
Et dans son sarcophage de décrépitude,
Son reste funéraire attend la fin des fins.
Mon amour était grand, puissant et bienfaiteur
Eperdument épris de sa déesse reine,
Régnant dans le partage et l’harmonie sereine,
Vassal de ses envie, Pharaon de son cœur.
Mais l’intrigante amante éprouva le désir
De détourner les yeux devers son bien-aimé,
S’amouracher bien tôt d’un autre à conquérir.
Poignardé dans le dos, agonisant martyr,
Mon amour s’effondra, trahi, assassiné.
Et je porte son deuil en chaque souvenir.