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Le ciel renferme l'espace de mes pensées
Où chaque étoile est une raison pour t'aimer
Et quand vient la nuit, au gré des vagues de vents,
Je ressens ton écho me toucher par semonces.
La forêt de mon cœur est parsemée de ronces,
De regrets hostiles et vidée de son sang.
Je me demande alors, obscurcie par mes peines,
Serait-ce de l'amour qui coule dans mes veines?
Ce liquide inconnu inonde mon corps nu,
Et il glace mes sens, et il tue ma patience.
Mais il a ce parfum, mais il a cette essence
Qui donne à ma vie cette envie d'être vécue.
Le savoir est une arme et je suis désarmé,
Dans l'indifférence de ne savoir que faire
Pour rester debout lorsque me projette à terre
L'étrangeté nourrie de tes yeux alarmés.
Je me sens faible aux esquisses de ton sourire,
Qui parviennent à moi tels des chants d'oiseaux blancs.
Et comme un ange perdu dans le blé des champs,
Je calque ma route aux caresses des zéphyrs.
Et si un jour, par hasard, la main du Destin,
En ce monde où les belles princesses sont rares,
Venait à toucher du doigt mon cœur et le tien,
Je t'aimerai d'un amour dépourvu de tares.
Nous serons tout les deux contre l'Humanité,
Laissant l'amour faire son chemin dans nos veines
Et le Ciel étoilé nous fera Roi et Reine
De l'humble royaume de ma Réalité.
Où chaque étoile est une raison pour t'aimer
Et quand vient la nuit, au gré des vagues de vents,
Je ressens ton écho me toucher par semonces.
La forêt de mon cœur est parsemée de ronces,
De regrets hostiles et vidée de son sang.
Je me demande alors, obscurcie par mes peines,
Serait-ce de l'amour qui coule dans mes veines?
Ce liquide inconnu inonde mon corps nu,
Et il glace mes sens, et il tue ma patience.
Mais il a ce parfum, mais il a cette essence
Qui donne à ma vie cette envie d'être vécue.
Le savoir est une arme et je suis désarmé,
Dans l'indifférence de ne savoir que faire
Pour rester debout lorsque me projette à terre
L'étrangeté nourrie de tes yeux alarmés.
Je me sens faible aux esquisses de ton sourire,
Qui parviennent à moi tels des chants d'oiseaux blancs.
Et comme un ange perdu dans le blé des champs,
Je calque ma route aux caresses des zéphyrs.
Et si un jour, par hasard, la main du Destin,
En ce monde où les belles princesses sont rares,
Venait à toucher du doigt mon cœur et le tien,
Je t'aimerai d'un amour dépourvu de tares.
Nous serons tout les deux contre l'Humanité,
Laissant l'amour faire son chemin dans nos veines
Et le Ciel étoilé nous fera Roi et Reine
De l'humble royaume de ma Réalité.
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