Hors ligne
Ce vase qui jadis en morceaux
Avec le temps fut reconstruit
Ses blessures écrites sur sa peau
Le rendait fragile pour autrui
Il avait droit à une autre chance
Malgré quelques gouttes du passé
Qu’il laissait perler en confiance
À qui voulait le regarder
Il semblait aussi dur qu’un roc
Prêt à embellir une maison
Mais sachant qu’au moindre petit choc
Il pourrait casser sans raison
Il donne aux autres toute sa beauté
Soutient aussi les fleurs fragiles
Arrivant même à oublier
Que ses pansements sont fait d’argile
Il reste droit à chaque instant
Gardant en lui ce p’tit secret
Qu’une chute ou même tremblement
Pourrait le briser à jamais
Il cache ses blessures à vos yeux
Et se montre sur son plus beau jour
Il sait ce que sait d’être heureux
Et embaume votre vie d’amour
Il oublie sa fragilité
Pour voir dans vos yeux cette lueur
Qui petit à petit vous font monter
Et faisant l’impasse sur ses peurs
Maintenant qu’il est oublié
Il reste dans son coin sans rien dire
Ses larmes coulent sur son bouclier
Attendant un nouveau sourire
Ses sanglots le font vaciller
À la fenêtre ce courant d’air
Doucement déstabilisé
Il tombe et se retrouve à terre
Avec le temps fut reconstruit
Ses blessures écrites sur sa peau
Le rendait fragile pour autrui
Il avait droit à une autre chance
Malgré quelques gouttes du passé
Qu’il laissait perler en confiance
À qui voulait le regarder
Il semblait aussi dur qu’un roc
Prêt à embellir une maison
Mais sachant qu’au moindre petit choc
Il pourrait casser sans raison
Il donne aux autres toute sa beauté
Soutient aussi les fleurs fragiles
Arrivant même à oublier
Que ses pansements sont fait d’argile
Il reste droit à chaque instant
Gardant en lui ce p’tit secret
Qu’une chute ou même tremblement
Pourrait le briser à jamais
Il cache ses blessures à vos yeux
Et se montre sur son plus beau jour
Il sait ce que sait d’être heureux
Et embaume votre vie d’amour
Il oublie sa fragilité
Pour voir dans vos yeux cette lueur
Qui petit à petit vous font monter
Et faisant l’impasse sur ses peurs
Maintenant qu’il est oublié
Il reste dans son coin sans rien dire
Ses larmes coulent sur son bouclier
Attendant un nouveau sourire
Ses sanglots le font vaciller
À la fenêtre ce courant d’air
Doucement déstabilisé
Il tombe et se retrouve à terre