- Inscrit
- 26 Septembre 2020
- Messages
- 878
- J'aime
- 2,142
- Points
- 98
- Localité
- LE KREMLIN BICETRE
- Je suis
- Un homme
Hors ligne
Ne te moques pas petite, de cette vieille édentée,
Tu ne sais pas encore ce que fut son histoire,
Quand à 20 ans, sur elle tous les hommes se tournaient,
Insolente jeunesse dans ses robes du soir.
Demandes- lui c’est mieux, de te narrer sa vie
Ses concours de beauté, ses scènes de tournage,
Ses conquêtes, ses amants, et ses quelques maris,
Mais oui ma fille, comme toi, elle fut parfois volage.
Acquiers la confiance de son coffre à souvenirs,
Tu vas voir ses photos de palais et croisières,
De soirées et de fêtes, de grands éclats de rires,
Avec autant de larmes et de vastes cimetières.
Tout son monde n’est plus, depuis des décennies,
Sa famille toute entière, amis et relations,
Elle est seule aujourd’hui à l’hospice, son abri,
Elle est comme un vieux meuble posé dans le salon.
Comme toi, fut insouciante, elle a couru sa vie
Sans savoir que le temps accumule les années
A la vitesse du vent, quand le futur s’enfuit,
Alors que la mémoire n’est à peine écornée.
Ne la plains pas non plus, à la voir en l’état,
Ainsi elle l’a voulu, son bilan est à elle.
Apprends au maximum ce qu’il t’arrivera,
Profites de la vie tant que t’es jeune et belle.
Tu ne sais pas encore ce que fut son histoire,
Quand à 20 ans, sur elle tous les hommes se tournaient,
Insolente jeunesse dans ses robes du soir.
Demandes- lui c’est mieux, de te narrer sa vie
Ses concours de beauté, ses scènes de tournage,
Ses conquêtes, ses amants, et ses quelques maris,
Mais oui ma fille, comme toi, elle fut parfois volage.
Acquiers la confiance de son coffre à souvenirs,
Tu vas voir ses photos de palais et croisières,
De soirées et de fêtes, de grands éclats de rires,
Avec autant de larmes et de vastes cimetières.
Tout son monde n’est plus, depuis des décennies,
Sa famille toute entière, amis et relations,
Elle est seule aujourd’hui à l’hospice, son abri,
Elle est comme un vieux meuble posé dans le salon.
Comme toi, fut insouciante, elle a couru sa vie
Sans savoir que le temps accumule les années
A la vitesse du vent, quand le futur s’enfuit,
Alors que la mémoire n’est à peine écornée.
Ne la plains pas non plus, à la voir en l’état,
Ainsi elle l’a voulu, son bilan est à elle.
Apprends au maximum ce qu’il t’arrivera,
Profites de la vie tant que t’es jeune et belle.