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L'enfant qu'il était
A l'heure d'aujourd'hui il a arrêté de croire en l'Amour
Une désillusion qu'il croit rimer avec toujours
Toute sa vie il traînera de lourds boulets
Avec lui tout paraît si alambiqué
Né peut être sous de mauvais auspices
Trop souvent au bord du précipice.
Dire qu'il a eu une enfance malheureuse serait mentir
En lui la maladie a creusé des sillons a faire blêmir
Divers coup bas la vie par malheur lui réserva
Obligeant l'enfant qu'il était a faire profil bas
Unanimement et je vous l'accorde il y a pire
Le slogan de ce gosse était déjà de vaincre ou périr.
En tous lieux surtout a l'école tout devenait compliqué
Une joie !! ses copains avec qui ce n'était pas non plus gagné
Rien ne lui présageait un avenir florissant
Sur sa vie il était amer et devenait insolent
Que pouvait il m'arriver de pire se demandait-il
Une fois que la maladie l'aurait rendu trop fragile
En rien il ne voulait céder de l'espace
De lui il voulait laisser a tous une trace
Encore et encore il se battrait contre son infortune
Ce ne sera pas facile de décrocher la Lune
Oubliant peu a peu ses déconvenues
Qui pourtant le mettait parfois a nu
Un jour vint cependant ou l'enfant qu'il était disparut
Il fît place a un ado plus mature qu'il ne l'aurait voulut
L'existence lui semblait plus heureuse
La réalité lui était moins râpeuse
Avec l'age il apprenait les choses de la vie
Gageant sur ses rêves encore inassouvis
Écrivant avec des rimes souvent maladroites
Sur le gave de son âge passé aux rives bien étroites
Sans tambour ni trompette il va de l'avant
Une façon a lui de paraître dorénavant
Rien ni personne ne peut l'atteindre
L'amertume qui l'assaille ne peut s' éteindre
A moins que l'Amour se fasse plus fort que la sottise
Plaise a Dieu et a tous ses saints de le sortir de la mouise
Lui qui contre sa maladresse a toujours espéré le bon remède
Avec le temps,va,tout s'en va chantait le barmaid
Guignant le bonheur de tout un chacun il s'est mis a boire
Espérant que son tour viendra et qu'il en sera finit de ses déboires
Perceval
1
A l'heure d'aujourd'hui il a arrêté de croire en l'Amour
Une désillusion qu'il croit rimer avec toujours
Toute sa vie il traînera de lourds boulets
Avec lui tout paraît si alambiqué
Né peut être sous de mauvais auspices
Trop souvent au bord du précipice.
Dire qu'il a eu une enfance malheureuse serait mentir
En lui la maladie a creusé des sillons a faire blêmir
Divers coup bas la vie par malheur lui réserva
Obligeant l'enfant qu'il était a faire profil bas
Unanimement et je vous l'accorde il y a pire
Le slogan de ce gosse était déjà de vaincre ou périr.
En tous lieux surtout a l'école tout devenait compliqué
Une joie !! ses copains avec qui ce n'était pas non plus gagné
Rien ne lui présageait un avenir florissant
Sur sa vie il était amer et devenait insolent
Que pouvait il m'arriver de pire se demandait-il
Une fois que la maladie l'aurait rendu trop fragile
En rien il ne voulait céder de l'espace
De lui il voulait laisser a tous une trace
Encore et encore il se battrait contre son infortune
Ce ne sera pas facile de décrocher la Lune
Oubliant peu a peu ses déconvenues
Qui pourtant le mettait parfois a nu
Un jour vint cependant ou l'enfant qu'il était disparut
Il fît place a un ado plus mature qu'il ne l'aurait voulut
L'existence lui semblait plus heureuse
La réalité lui était moins râpeuse
Avec l'age il apprenait les choses de la vie
Gageant sur ses rêves encore inassouvis
Écrivant avec des rimes souvent maladroites
Sur le gave de son âge passé aux rives bien étroites
Sans tambour ni trompette il va de l'avant
Une façon a lui de paraître dorénavant
Rien ni personne ne peut l'atteindre
L'amertume qui l'assaille ne peut s' éteindre
A moins que l'Amour se fasse plus fort que la sottise
Plaise a Dieu et a tous ses saints de le sortir de la mouise
Lui qui contre sa maladresse a toujours espéré le bon remède
Avec le temps,va,tout s'en va chantait le barmaid
Guignant le bonheur de tout un chacun il s'est mis a boire
Espérant que son tour viendra et qu'il en sera finit de ses déboires
Perceval
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