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Tandis qu'ici la mienne s'irise de tons turquoises,
ta mer, elle, se confond dans un ciel gris ardoise.
Je flâne, au bord de l'eau, seule comme une âme en peine,
et pourtant, quand j'y plonge mes sombres yeux d’ébène,
le ressac de ses vagues, mousseuses et trop blanches,
ne me mène jamais aux rives de ta manche....
Ni le bel horizon, quand il se vêt de rose,
ni son bleu, ne colorent mes lendemains moroses.
Je goûterai, encore, aux étreintes d’alcôve,
en fuyant, le lointain quand il se pare de mauve.
Puis au lever du jour, je scruterai en vain,
la foret de pins verts ,d'ou tu ne viendras point.
Le soir t'en souviens tu ? nous venions contempler,
les couchers orangés de méditerranée.
Mais puisqu'elle ne veut pas, que de là haut tu bouges,
avec lui j'irai donc, plonger dans la mer rouge.
enfin, réconfortée, par l'amour qu'il me donne,
nous voguerons ensemble, sur le long, fleuve jaune.
Vic
ta mer, elle, se confond dans un ciel gris ardoise.
Je flâne, au bord de l'eau, seule comme une âme en peine,
et pourtant, quand j'y plonge mes sombres yeux d’ébène,
le ressac de ses vagues, mousseuses et trop blanches,
ne me mène jamais aux rives de ta manche....
Ni le bel horizon, quand il se vêt de rose,
ni son bleu, ne colorent mes lendemains moroses.
Je goûterai, encore, aux étreintes d’alcôve,
en fuyant, le lointain quand il se pare de mauve.
Puis au lever du jour, je scruterai en vain,
la foret de pins verts ,d'ou tu ne viendras point.
Le soir t'en souviens tu ? nous venions contempler,
les couchers orangés de méditerranée.
Mais puisqu'elle ne veut pas, que de là haut tu bouges,
avec lui j'irai donc, plonger dans la mer rouge.
enfin, réconfortée, par l'amour qu'il me donne,
nous voguerons ensemble, sur le long, fleuve jaune.
Vic