Hors ligne
Les Fantasques de l'Hiver s'affairent de délires méthodiques,
Palpitent consciencieusement aux tambours démontées
A la recherche d'un retentissement au-delà des moyens de leurs vie...
Lentement, l’engrenage en mouvement,
D'Imprononçables transes se forment de nuages antérieurs,
Rêves immémoriels, peuple des faces cachées,
Sciences clandestines du dérangement,
Echo de l’abîme où se penser d’autres vérités…
Jouant aux fous pleins d’habitudes,
Légendaire calme des maniaques,
Tranquille mise à sac dans la cité de ses propres ordres ;
La fuite en avant inespérée enfin recommence,
partagée sur une ligne basse où se divisent des chemins de prophéties…
Éclair et confort d'un syndrome confusionnel que l'on maintiendra,
Fiévreux, agité tout au long de la Nuit,
Pour révéler à nouveau son potentiel tardif,
Et d’aléatoires nourrir ses Chimères ;
Un équilibre précaire !
que l'on inspire profondément sur son miroir,
Comme une revanche à notre image reflétée,
Trop polissée de l'atonie des habitudes sociales...
Un temps marqué par l'attente…
fébrile de l'onde froide qui se propage dans votre dos.
votre chimie intérieure précipitée, progressivement cadencée,
Par un malin génie qui perturbe l'harmonie conventionnelle
De votre orchestre consensus tous les jours…
Et cyclique s'élèvent les sens, toujours plus loin,
Toujours plus haut vers le soleil de l'Instant presque vécu !
Electrisante accalmie, votre tension perchée
Sur une longueur d'ondes que seuls les rêves intègrent.
L'intuition dilatée, réceptive et qui brille !
Dans vos yeux consumés d'allégories collectives,
De l'idée de liberté que l’on s’est fabriquée,
Par la contemplation sereine de votre folie théâtrale,
Ritualisée de rythmes affaissés jusqu'aux chemins de l'Aurore,
L'âme amplifiée, exorcisée et qui danse et qui danse...
2014 (protégé par droits d'auteur)
Palpitent consciencieusement aux tambours démontées
A la recherche d'un retentissement au-delà des moyens de leurs vie...
Lentement, l’engrenage en mouvement,
D'Imprononçables transes se forment de nuages antérieurs,
Rêves immémoriels, peuple des faces cachées,
Sciences clandestines du dérangement,
Echo de l’abîme où se penser d’autres vérités…
Jouant aux fous pleins d’habitudes,
Légendaire calme des maniaques,
Tranquille mise à sac dans la cité de ses propres ordres ;
La fuite en avant inespérée enfin recommence,
partagée sur une ligne basse où se divisent des chemins de prophéties…
Éclair et confort d'un syndrome confusionnel que l'on maintiendra,
Fiévreux, agité tout au long de la Nuit,
Pour révéler à nouveau son potentiel tardif,
Et d’aléatoires nourrir ses Chimères ;
Un équilibre précaire !
que l'on inspire profondément sur son miroir,
Comme une revanche à notre image reflétée,
Trop polissée de l'atonie des habitudes sociales...
Un temps marqué par l'attente…
fébrile de l'onde froide qui se propage dans votre dos.
votre chimie intérieure précipitée, progressivement cadencée,
Par un malin génie qui perturbe l'harmonie conventionnelle
De votre orchestre consensus tous les jours…
Et cyclique s'élèvent les sens, toujours plus loin,
Toujours plus haut vers le soleil de l'Instant presque vécu !
Electrisante accalmie, votre tension perchée
Sur une longueur d'ondes que seuls les rêves intègrent.
L'intuition dilatée, réceptive et qui brille !
Dans vos yeux consumés d'allégories collectives,
De l'idée de liberté que l’on s’est fabriquée,
Par la contemplation sereine de votre folie théâtrale,
Ritualisée de rythmes affaissés jusqu'aux chemins de l'Aurore,
L'âme amplifiée, exorcisée et qui danse et qui danse...
2014 (protégé par droits d'auteur)
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