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Dans un nid, entre branches et feuillages d'un vieux chêne.
Trois petits oisillons, que leur mère élève avec peine,
A chaque envol à la recherche de ver ou graines;
Son cœur se serre, rien d'y penser qu'un danger ne leur survienne.
Elle attend d'eux, une fois grands, une aide à supporter mieux la vie
Cette sensation d'être seule, incomprise , cette grande envie,
De tant partager, de recevoir... En somme d'exister.
Mais le temps, ce grand artiste, qu'on a du mal à lui résister.
Façonne nos cœurs, nos regards, notre égoïsme avide,
Des choses éphémères de ce bas monde...ce grand vide.
Alors on pense qu'a nous même, à notre bonheur.
Battant des ailes, on part le chercher ailleurs.
Le moment où il nous semble l'avoir trouvé;
On s'agrippe, on l'empoigne....On le perd comme si on a rêvé.
On se sent alors seul, abandonné et immatériel;
Bienveillant, ce sentiment maternel, à notre secours nous attire vers elle.
Notre cœur se gonfle d'espoir, telles les voiles d'un navire,
Sous les vents favorables, on voit plus claire notre avenir.
"Ô! Maman, on ne vous remercie jamais assez,
Sans toi, on n'a ni présent, ni passé,
Que ferons nous sans ta présence parmi nous?
Nous prions le seigneur de te garder pour nous".
"Ô! Mes adorables enfants, ma fierté éternelle,
J'admire en vous cet amour fraternel.
Mon amour, celui d'une mère attentive, parfois bien rebelle,
Vous secouant, aimant que votre vie sera plus belle.
L'amour que je porte pour chacun de vous, est si ardent,
Qu'aucun poème, ne pourra le décrire, j'en fais serment.
Je vois en vous mes princes, mes chevaliers et ma reine,
Je vous serai humblement reconnaissante, sans mal, ni peine.
Je ressusciterai, chaque soir après ma mort, espoir de vous dire
Ô! combien je vous aime!
Trois petits oisillons, que leur mère élève avec peine,
A chaque envol à la recherche de ver ou graines;
Son cœur se serre, rien d'y penser qu'un danger ne leur survienne.
Elle attend d'eux, une fois grands, une aide à supporter mieux la vie
Cette sensation d'être seule, incomprise , cette grande envie,
De tant partager, de recevoir... En somme d'exister.
Mais le temps, ce grand artiste, qu'on a du mal à lui résister.
Façonne nos cœurs, nos regards, notre égoïsme avide,
Des choses éphémères de ce bas monde...ce grand vide.
Alors on pense qu'a nous même, à notre bonheur.
Battant des ailes, on part le chercher ailleurs.
Le moment où il nous semble l'avoir trouvé;
On s'agrippe, on l'empoigne....On le perd comme si on a rêvé.
On se sent alors seul, abandonné et immatériel;
Bienveillant, ce sentiment maternel, à notre secours nous attire vers elle.
Notre cœur se gonfle d'espoir, telles les voiles d'un navire,
Sous les vents favorables, on voit plus claire notre avenir.
"Ô! Maman, on ne vous remercie jamais assez,
Sans toi, on n'a ni présent, ni passé,
Que ferons nous sans ta présence parmi nous?
Nous prions le seigneur de te garder pour nous".
"Ô! Mes adorables enfants, ma fierté éternelle,
J'admire en vous cet amour fraternel.
Mon amour, celui d'une mère attentive, parfois bien rebelle,
Vous secouant, aimant que votre vie sera plus belle.
L'amour que je porte pour chacun de vous, est si ardent,
Qu'aucun poème, ne pourra le décrire, j'en fais serment.
Je vois en vous mes princes, mes chevaliers et ma reine,
Je vous serai humblement reconnaissante, sans mal, ni peine.
Je ressusciterai, chaque soir après ma mort, espoir de vous dire
Ô! combien je vous aime!