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Les Rives du destin
Portant à chaque instant son poids de quotidien
Il eut pu ne pas voir
La lueur qui allait devenir un lien,
Éveillant ses espoirs
Prenant d’abord son âme
Sans que cela paraisse un sentiment surgit
Allumant une flamme.
S’infiltrant peu à peu au sein de son esprit.
Et un charme infini l’appelant à séduire
Il se fit attirant,
Il débordait de mots et osait les écrire
Pour cet être envoûtant.
Il dut faire l’aveu
Que l’archer le blessait de lente persistance,
Esclave de ses yeux
Il devint son captif, sa folle appartenance.
Mais la vie ignorant la passion sublime
L’éloignait de son cœur
Elle resta séparée et un affreux abîme
Empêchait leur bonheur.
Écrivant ses désirs
Il eut comme réponse un merveilleux sourire
L’empêchant de dormir.
Quand le monde des songes accueille son délire.
Il leur fallut comprendre l’impossible défi
Quand l’espace et le temps
Séparent cruellement, aucun pont n’est bâti,
Le sort est un tyran.
Mais rêvant jour et nuit
Il dut alors l’aimer à s’en déchirer l’âme
Elle devint sa femme
Quand sur la même rive un bon destin les mit.
Portant à chaque instant son poids de quotidien
Il eut pu ne pas voir
La lueur qui allait devenir un lien,
Éveillant ses espoirs
Prenant d’abord son âme
Sans que cela paraisse un sentiment surgit
Allumant une flamme.
S’infiltrant peu à peu au sein de son esprit.
Et un charme infini l’appelant à séduire
Il se fit attirant,
Il débordait de mots et osait les écrire
Pour cet être envoûtant.
Il dut faire l’aveu
Que l’archer le blessait de lente persistance,
Esclave de ses yeux
Il devint son captif, sa folle appartenance.
Mais la vie ignorant la passion sublime
L’éloignait de son cœur
Elle resta séparée et un affreux abîme
Empêchait leur bonheur.
Écrivant ses désirs
Il eut comme réponse un merveilleux sourire
L’empêchant de dormir.
Quand le monde des songes accueille son délire.
Il leur fallut comprendre l’impossible défi
Quand l’espace et le temps
Séparent cruellement, aucun pont n’est bâti,
Le sort est un tyran.
Mais rêvant jour et nuit
Il dut alors l’aimer à s’en déchirer l’âme
Elle devint sa femme
Quand sur la même rive un bon destin les mit.
