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Lorsque le soleil glisse dans son urne,
La nuit s'orne de son diadème de lune.
Lorsque les oiseaux retrouvent leurs nitées,
Et les plumes nocturnes fendent les nuitées.
Ma pensée prend son essor vers ma dulcinée.
Lorsque le vent souffle dans sa bouffarde,
Où toute embarcation se tient en rade.
Lorsque l'albatros bat lourdement les ailes,
Ondes et vagues se mêlent entre elles.
Ma pensée prend son essor vers ma dulcinée.
Lorsque la pluie pénètre les entrailles,
Empruntant petites crevasses et failles.
Lorsque le grain s'enracine et pousse,
L'épi fauché par la main noire et rousse.
Ma pensée prend son essor vers ma dulcinée.
Lorsque la neige couvre sentiers et monts,
Le feu au fond d'une cheminée dansant gaiement.
Lorsque le soleil vif, brûle d'envie,
Caressant de ses doigts lumineux toute vie.
Ma pensée prend son essor vers ma dulcinée.
Lorsque le tonnerre gronde et résonne,
Précédé d'un éclat d'éclair, qui tisonne,
Pour finir par mourir, en touchant la terre,
Sa seule façon d'aimer et de lui plaire.
Ma pensée prend son essor vers ma dulcinée.
Lorsque le merle accompagne mes vers,
au son d'un ru serpentant ton corps et revers.
Lorsque mes lèvres articulent tes mots,
Comme par magie, s’évaporent tous mes maux.
Ma pensée prend son essor vers ma dulcinée.
Lorsque les chérubins jouent sous mon balcon,
Ignorant les cris des adultes, ses vieux cons.
Lorsque je prends ma plume et ma page,
Pour écrire ces humbles vers à mon âge.
Ma pensée prend son essor vers ma dulcinée.
Lorsque je plonge dans mon grand lit glacial,
Descendant au fond de ma pensée abyssale,
Pour retrouver celle qui a su m'émouvoir,
M'envoûter langoureusement par son pouvoir.
La nuit s'orne de son diadème de lune.
Lorsque les oiseaux retrouvent leurs nitées,
Et les plumes nocturnes fendent les nuitées.
Ma pensée prend son essor vers ma dulcinée.
Lorsque le vent souffle dans sa bouffarde,
Où toute embarcation se tient en rade.
Lorsque l'albatros bat lourdement les ailes,
Ondes et vagues se mêlent entre elles.
Ma pensée prend son essor vers ma dulcinée.
Lorsque la pluie pénètre les entrailles,
Empruntant petites crevasses et failles.
Lorsque le grain s'enracine et pousse,
L'épi fauché par la main noire et rousse.
Ma pensée prend son essor vers ma dulcinée.
Lorsque la neige couvre sentiers et monts,
Le feu au fond d'une cheminée dansant gaiement.
Lorsque le soleil vif, brûle d'envie,
Caressant de ses doigts lumineux toute vie.
Ma pensée prend son essor vers ma dulcinée.
Lorsque le tonnerre gronde et résonne,
Précédé d'un éclat d'éclair, qui tisonne,
Pour finir par mourir, en touchant la terre,
Sa seule façon d'aimer et de lui plaire.
Ma pensée prend son essor vers ma dulcinée.
Lorsque le merle accompagne mes vers,
au son d'un ru serpentant ton corps et revers.
Lorsque mes lèvres articulent tes mots,
Comme par magie, s’évaporent tous mes maux.
Ma pensée prend son essor vers ma dulcinée.
Lorsque les chérubins jouent sous mon balcon,
Ignorant les cris des adultes, ses vieux cons.
Lorsque je prends ma plume et ma page,
Pour écrire ces humbles vers à mon âge.
Ma pensée prend son essor vers ma dulcinée.
Lorsque je plonge dans mon grand lit glacial,
Descendant au fond de ma pensée abyssale,
Pour retrouver celle qui a su m'émouvoir,
M'envoûter langoureusement par son pouvoir.