- Inscrit
- 19 Octobre 2018
- Messages
- 3,618
- J'aime
- 6,195
- Points
- 173
- Age
- 85
- Localité
- Orléans
- Je suis
- Un homme
Hors ligne
L’état de l’État = des soucis en tas!
Ah! Plaignons tous les politiques
Que l’on traite de noms d’oiseaux
De roublards ou de zigotos
Enfin de noms peu sympathiques
Car aux frais de la république
Ils emploient leur peu de cerveau
Bien qu’ils ne pensent jamais trop
Et font notre état bordélique.
Se croyant de grands orateurs
Ils exploitent tous les malheurs
Pour ternir le pouvoir en la place
Ils vocifèrent et ils grimacent
Pour du peuple être les meneurs
Mais ils n’en sont que les limaces
Cependant tenant aux honneurs
Et aux revenus confortables
Ils se prétendent tous capables
De rendre notre état meilleur.
Hélas conteurs mais peu compteurs
Ils n’ont que des idées minables
Perdant un temps fort critiquable
À être de troubles fauteurs
Gardons nous de laisser un jour
Ces gens là nous jouer des tours
Qui feraient sombrer le navire
Puisque chez nous les sots empirent
Qu’ils soient contre ou bien qu’ils soient pour
Les incapables doivent déguerpir.
Il faudrait donc être capable
De corriger au bout d’un temps
L’inefficace l’incompétent
Qui se montrerait contestable
Hélas le temps inaliénable
Ne se montre jamais clément
Les choix assez mal convenant
On peut élire des incapables
Et le sort parfois maléfique
Arrive à regrouper des sots
Qui se mêlant de politique
De l’état brûle le magot
Et d’une pauvre république
L’électeur porte le chapeau.
Ah! Plaignons tous les politiques
Que l’on traite de noms d’oiseaux
De roublards ou de zigotos
Enfin de noms peu sympathiques
Car aux frais de la république
Ils emploient leur peu de cerveau
Bien qu’ils ne pensent jamais trop
Et font notre état bordélique.
Se croyant de grands orateurs
Ils exploitent tous les malheurs
Pour ternir le pouvoir en la place
Ils vocifèrent et ils grimacent
Pour du peuple être les meneurs
Mais ils n’en sont que les limaces
Cependant tenant aux honneurs
Et aux revenus confortables
Ils se prétendent tous capables
De rendre notre état meilleur.
Hélas conteurs mais peu compteurs
Ils n’ont que des idées minables
Perdant un temps fort critiquable
À être de troubles fauteurs
Gardons nous de laisser un jour
Ces gens là nous jouer des tours
Qui feraient sombrer le navire
Puisque chez nous les sots empirent
Qu’ils soient contre ou bien qu’ils soient pour
Les incapables doivent déguerpir.
Il faudrait donc être capable
De corriger au bout d’un temps
L’inefficace l’incompétent
Qui se montrerait contestable
Hélas le temps inaliénable
Ne se montre jamais clément
Les choix assez mal convenant
On peut élire des incapables
Et le sort parfois maléfique
Arrive à regrouper des sots
Qui se mêlant de politique
De l’état brûle le magot
Et d’une pauvre république
L’électeur porte le chapeau.