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Ce n'est pas facile d'écrire sur un tel sujet, mais Il était temps qu'un poète lève sa plume, pour dire les souffrances, de cette nature luxuriante qui part en fumée chaque jour un peu plus, bravo pour cette publication et merci pour cette nature et ses habitants.
Ce n'est pas facile d'écrire sur un tel sujet, mais Il était temps qu'un poète lève sa plume, pour dire les souffrances, de cette nature luxuriante qui part en fumée chaque jour un peu plus, bravo pour cette publication et merci pour cette nature et ses habitants.
j'espère, chère Carnicella que vous pourrez mieux lire ainsi. Avec toute mon amitié poétique.
L’ile paradisiaque.
L'ile de la Palma l'éden des Canaries Au ciel bleu alangui propice aux rêveries Qui brule au soleil toute nudité des corps En offrant là l’ampleur du merveilleux décor.
Que vaut cette force qui n'a pas de frontière Au souffle dirigeant seul maître de la terre Pauvre est l'utopie de l'homme dominateur En face d’éléments profonds et destructeurs.
Au grand Cumbre Vieja soudain coule la lave Grondant et déferlant dégoulinant de bave Déverse aux fissures son feu victorieux Là l'homme impuissant en reste silencieux
Emportant au passage toute la nature Ce dragon furieux aux fumées de sulfure Inexorablement pousse l'être à l'exil Apeuré et perdus tous s'enfuient du péril.
Grande solitude qui agrandit les plaies Des chemins ambigus ou les voies dévastées Donnent toute l'horreur à cet anéanti Pauvre ile perdue aux couleurs de paradis.
j'espère, chère Carnicella que vous pourrez mieux lire ainsi. Avec toute mon amitié poétique.
L’ile paradisiaque.
L'ile de la Palma l'éden des Canaries Au ciel bleu alangui propice aux rêveries Qui brule au soleil toute nudité des corps En offrant là l’ampleur du merveilleux décor.
Que vaut cette force qui n'a pas de frontière Au souffle dirigeant seul maître de la terre Pauvre est l'utopie de l'homme dominateur En face d’éléments profonds et destructeurs.
Au grand Cumbre Vieja soudain coule la lave Grondant et déferlant dégoulinant de bave Déverse aux fissures son feu victorieux Là l'homme impuissant en reste silencieux
Emportant au passage toute la nature Ce dragon furieux aux fumées de sulfure Inexorablement pousse l'être à l'exil Apeuré et perdus tous s'enfuient du péril.
Grande solitude qui agrandit les plaies Des chemins ambigus ou les voies dévastées Donnent toute l'horreur à cet anéanti Pauvre ile perdue aux couleurs de paradis.