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L’ immarcescible attachement.
C’est un fait le hasard peut tout
Un jour une gente voisine
Lui dit rodez votre machine
Avant de devenir époux
Il pensait en connaître un bout
Mais ayant la fibre câline
La dame à le former s’échine
À ses jeux divers il prit goût.
Sachant diversifier la chose
De sa fantaisie il dispose
Et en acquit quelques savoirs
La dame ayant de la constance
Lui apprit ses divers devoirs
En différentes circonstances.
Ce fut elle qui prit époux
Bien qu’il vécut dans l’opulence
Hélas il n’était qu’indolence
Il l’enchantait plus peu que prou.
à l'ex elle dit pourriez vous
Retrouver nos belle constances
Nos sensuelles insistances
Je trouve mon mari bien mou.
Hélas madame tout s’y oppose
L’amour me vint pour une rose
Qui en plus de votre savoir
A enchanté mon existence
D’un désir qui ne saurait choir
Excluant la polyvalence.
Sachez que le destin fort doux
Peut créer des persévérances
D'immarcescibles attirances
En un accord plus fort que tout
Quand le cœur du corps est l’atout
Que la physique cohérence
Donne aux sens l’exubérance
La constance se fait tabou
Vous fûtes rimes à ma prose
Vous fîtes d’un savoir morose
Un délectable nonchaloir
L’amoureuse coexistence
Me donna de nouveaux pouvoirs
Définitive est ma constance.
C’est un fait le hasard peut tout
Un jour une gente voisine
Lui dit rodez votre machine
Avant de devenir époux
Il pensait en connaître un bout
Mais ayant la fibre câline
La dame à le former s’échine
À ses jeux divers il prit goût.
Sachant diversifier la chose
De sa fantaisie il dispose
Et en acquit quelques savoirs
La dame ayant de la constance
Lui apprit ses divers devoirs
En différentes circonstances.
Ce fut elle qui prit époux
Bien qu’il vécut dans l’opulence
Hélas il n’était qu’indolence
Il l’enchantait plus peu que prou.
à l'ex elle dit pourriez vous
Retrouver nos belle constances
Nos sensuelles insistances
Je trouve mon mari bien mou.
Hélas madame tout s’y oppose
L’amour me vint pour une rose
Qui en plus de votre savoir
A enchanté mon existence
D’un désir qui ne saurait choir
Excluant la polyvalence.
Sachez que le destin fort doux
Peut créer des persévérances
D'immarcescibles attirances
En un accord plus fort que tout
Quand le cœur du corps est l’atout
Que la physique cohérence
Donne aux sens l’exubérance
La constance se fait tabou
Vous fûtes rimes à ma prose
Vous fîtes d’un savoir morose
Un délectable nonchaloir
L’amoureuse coexistence
Me donna de nouveaux pouvoirs
Définitive est ma constance.
