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L’oiseau noir
Au soir de l’hiver, quand le soleil est de glace
Que ses rayons meurent dans les flots naufragés
D’un lac de montagne, plane à sa surface
L’ombre d’un bel oiseau noir qui part voyager
Il a pris son envol, vers de vastes contrées
Un vaisseau animal entre ciel et terre
Libre dans les airs, dans l’univers bigarré
Des grands espaces naturels et solitaires
J’ai croisé son vol, sur son dos, je suis parti
Sur ce beau destrier, tel un cheval de vent
Qui hennit de joie, je me sentais si petit
En survolant les ailes d’un moulin-à-vent
Crier à pleins poumons, clamer à la nature
Qu’elle est belle, formidable dans sa beauté
J’ai fait corps et âme, avec cette créature
L’oiseau noir, la preuve de la vraie liberté !
Au soir de l’hiver, quand le soleil est de glace
Que ses rayons meurent dans les flots naufragés
D’un lac de montagne, plane à sa surface
L’ombre d’un bel oiseau noir qui part voyager
Il a pris son envol, vers de vastes contrées
Un vaisseau animal entre ciel et terre
Libre dans les airs, dans l’univers bigarré
Des grands espaces naturels et solitaires
J’ai croisé son vol, sur son dos, je suis parti
Sur ce beau destrier, tel un cheval de vent
Qui hennit de joie, je me sentais si petit
En survolant les ailes d’un moulin-à-vent
Crier à pleins poumons, clamer à la nature
Qu’elle est belle, formidable dans sa beauté
J’ai fait corps et âme, avec cette créature
L’oiseau noir, la preuve de la vraie liberté !
