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L'indifférence, ombre d'un cœur fermé
Qui laisse les âmes passer sans un regard
Comme le vent qui souffle, sans jamais s'arrêter
Elle traverse la vie, laissant tout à l'écart.
Elle est ce regard détourné, un geste oublié
Un silence pesant, une absence d'émoi
Chaque jour, elle sape et fait ployer
Les âmes sensibles qui croyaient en la joie
Elle est l'hiver glacé des sentiments
Un désert aride où rien ne pousse
Elle éteint la flamme, étouffe les chants
Dans son sillage, les rêves s'effacent et se poussent.
Elle est cette pluie fine qui ronge la pierre
Un poison lent, insidieux et discret
Elle creuse des fossés, sépare les terres
Elle brise les cœurs, les laisse en secret
Elle est ce mur invisible entre nous
Qui rend chaque geste creux et vain
Un voile noir, un poids lourd sur nos jougs
Qui rend le jour obscur, et les cieux incertains.
L'indifférence, tueuse silencieuse
Elle ne crie pas, mais elle blesse
Elle laisse une empreinte douloureuse
Dans les cœurs qu'elle caresse.
L'indifférence, c'est l'ombre qui s'étend
Sur les passions, les rêves et les vies
Elle efface les couleurs, rend tout absent
Dans son froid, tout espoir englouti.
Dans cette ombre, une lueur persiste
Un espoir ténu, fragile et vrai
Car même l'indifférence ne résiste
À la chaleur d'un amour sincère et parfait.
Fouzia El Mellah
Qui laisse les âmes passer sans un regard
Comme le vent qui souffle, sans jamais s'arrêter
Elle traverse la vie, laissant tout à l'écart.
Elle est ce regard détourné, un geste oublié
Un silence pesant, une absence d'émoi
Chaque jour, elle sape et fait ployer
Les âmes sensibles qui croyaient en la joie
Elle est l'hiver glacé des sentiments
Un désert aride où rien ne pousse
Elle éteint la flamme, étouffe les chants
Dans son sillage, les rêves s'effacent et se poussent.
Elle est cette pluie fine qui ronge la pierre
Un poison lent, insidieux et discret
Elle creuse des fossés, sépare les terres
Elle brise les cœurs, les laisse en secret
Elle est ce mur invisible entre nous
Qui rend chaque geste creux et vain
Un voile noir, un poids lourd sur nos jougs
Qui rend le jour obscur, et les cieux incertains.
L'indifférence, tueuse silencieuse
Elle ne crie pas, mais elle blesse
Elle laisse une empreinte douloureuse
Dans les cœurs qu'elle caresse.
L'indifférence, c'est l'ombre qui s'étend
Sur les passions, les rêves et les vies
Elle efface les couleurs, rend tout absent
Dans son froid, tout espoir englouti.
Dans cette ombre, une lueur persiste
Un espoir ténu, fragile et vrai
Car même l'indifférence ne résiste
À la chaleur d'un amour sincère et parfait.
Fouzia El Mellah