Hors ligne
L’orbe bleu
Redis-lui, la chanson de la vague qui danse,
Sans briser l’onde pure et le pouls de son cœur.
Pour oublier les nuits des mille morts d’errance,
Et perler de bonheur la larme ombrée de fleurs.
J’ai vu l’écho lassé dorer d’autres rivages,
Et du doute fatal gémir l’ultime aveu ;
Son carrosse embourbé dans les lieux sans visages
Et la vague ensablée envelopper ses yeux.
S’échappant de ses pas, l’orbe bleu du poème,
Requiert d’une attention un bel adieu ému.
Jaloux de ses baisers, il raille si je l’aime
Effaçant ses instants comme un miracle échu.
Nous parcourons les mots dans un nimbe éternel
Et goûtons la passion des arpèges aimants.
Que nous suffirait-il pour cueillir l’arc-en-ciel,
Et accrocher nos vœux au vol du firmament ?
Redis-moi, la chanson de la vague qui danse,
Sans briser l’onde pure et le pouls de son cœur.
Pour oublier les nuits des mille morts d’errance,
Et perler de bonheur la larme ombrée de fleurs.
Redis-lui, la chanson de la vague qui danse,
Sans briser l’onde pure et le pouls de son cœur.
Pour oublier les nuits des mille morts d’errance,
Et perler de bonheur la larme ombrée de fleurs.
J’ai vu l’écho lassé dorer d’autres rivages,
Et du doute fatal gémir l’ultime aveu ;
Son carrosse embourbé dans les lieux sans visages
Et la vague ensablée envelopper ses yeux.
S’échappant de ses pas, l’orbe bleu du poème,
Requiert d’une attention un bel adieu ému.
Jaloux de ses baisers, il raille si je l’aime
Effaçant ses instants comme un miracle échu.
Nous parcourons les mots dans un nimbe éternel
Et goûtons la passion des arpèges aimants.
Que nous suffirait-il pour cueillir l’arc-en-ciel,
Et accrocher nos vœux au vol du firmament ?
Redis-moi, la chanson de la vague qui danse,
Sans briser l’onde pure et le pouls de son cœur.
Pour oublier les nuits des mille morts d’errance,
Et perler de bonheur la larme ombrée de fleurs.