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Poème Lucette si tu voyais Lutèce…

Peniculo

Grand poète
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#1
Lucette si tu voyais Lutèce…



Heureux qui à Paris a fait un beau voyage
Et qui put s’y garer sans perdre la raison
Qui sans être taxé d’incroyable façon
Put sortir en vainqueur de ses embouteillages

Cette ville souffrant d’une incroyable rage
N’a plus son bel aspect ni ses belles façons
On ne circule plus que tel le limaçon
La folle trottinette ayant pris l’avantage.

Des plaisirs de jadis Paris n’est plus le lieux
Et les voisins pays n’en sont plus envieux
La gloire de la ville hélas se débobine.

Reverrons nous un jour ses radieux matins
Ses monuments exquis et son quartier latin
De l’aube sur la Seine la lumière divine.



Ah, Du Bellay mon cher, vous auriez des regrets
Les malheurs de Paris sont de telle envergure
Et la ville de bourreaux subit tant de tortures
Que la morosité y succède au progrès

De sottises multiples on a fait un congrès
Qui décide sans cesse de neuves forfaitures
La logique se perd dans une dictature
Qui ne peut engendrer qu’inutiles progrès

Si le vent du futur ne redresse la barre
Craignons que la folie de la ville s’empare
Et que le mergitur passe le «fluctuat»

Que le règne des rats et des pensées obscures
Finissent vivement les sottes dictatures
Et que Paris évite l’affreux «requiescat»




Note de voyage : Si j’aurais su , j’aurais pas venu !





 
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#3
Lucette si tu voyais Lutèce…



Heureux qui à Paris a fait un beau voyage
Et qui put s’y garer sans perdre la raison
Qui sans être taxé d’incroyable façon
Put sortir en vainqueur de ses embouteillages


Cette ville souffrant d’une incroyable rage
N’a plus son bel aspect ni ses belles façons
On ne circule plus que tel le limaçon
La folle trottinette ayant pris l’avantage.


Des plaisirs de jadis Paris n’est plus le lieux
Et les voisins pays n’en sont plus envieux
La gloire de la ville hélas se débobine.


Reverrons nous un jour ses radieux matins
Ses monuments exquis et son quartier latin
De l’aube sur la Seine la lumière divine.




Ah, Du Bellay mon cher, vous auriez des regrets
Les malheurs de Paris sont de telle envergure
Et la ville de bourreaux subit tant de tortures
Que la morosité y succède au progrès


De sottises multiples on a fait un congrès
Qui décide sans cesse de neuves forfaitures
La logique se perd dans une dictature
Qui ne peut engendrer qu’inutiles progrès


Si le vent du futur ne redresse la barre
Craignons que la folie de la ville s’empare
Et que le mergitur passe le «fluctuat»


Que le règne des rats et des pensées obscures
Finissent vivement les sottes dictatures
Et que Paris évite l’affreux «requiescat»





Note de voyage : Si j’aurais su , j’aurais pas venu !





Agréable de bon matin
 
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