- Inscrit
- 19 Avril 2019
- Messages
- 601
- J'aime
- 1,249
- Points
- 98
- Je suis
- Un homme
Hors ligne
Un jour dans un désert sans âme apparente,
A jailli une source timide et transparente.
Au fil des jours, elle prit plus d'assurance,
Pour couler avec plus d'abondance.
Alors la vie s'installe autour d'elle,
Quelques pousses, coléoptères, même hirondelles.
Un soir au clair de lune,
Un cavalier guidé par son destin sans fortune;
S'émerveille à la vue de sa splendeur,
Ne pouvant résister à sa saveur.
Aussitôt son cœur se remplie de joie,
Et lui dit"Je ne me séparerai jamais de toi,
Sans toi la vie est un désert monotone,
Un ciel gris, orageux qui tonne.
Au près de toi, j'écouterai ton ultime récital,
Ma voix, t'accompagne sans cordes, ni métal.
Une sérénade à l'occasion de ta naissance,
Qui fut le jour de ma délivrance.
Je prends pour témoin chaque grain de sable,
Ô! Ma douce source intarissable".
"Ô! Mon nomade charmé par mes reflets argentés,
Au près de moi, que les opprimés trouvent la bonté,
Plonge en moi tes mains, visiblement marquées par le voyage,
Elles retrouveront leur douceur et leur âge".
"Sens-tu mon corps vibrant sous tes caresses,
Ah! Combien de temps perdu de notre jeunesse.
Tes lèvres en moi gracieuses et chaudes,
Pénètrent en moi en longueur d'ondes,
Ô! Mon roi du désert ou plutôt de la terre entière,
Mon corps nu, seuls habits tes cils et paupières;
De ma voie, je sème la vie, tes vers grains nourriciers,
Je suis à toi,ô! Mon preux sourcier".
A jailli une source timide et transparente.
Au fil des jours, elle prit plus d'assurance,
Pour couler avec plus d'abondance.
Alors la vie s'installe autour d'elle,
Quelques pousses, coléoptères, même hirondelles.
Un soir au clair de lune,
Un cavalier guidé par son destin sans fortune;
S'émerveille à la vue de sa splendeur,
Ne pouvant résister à sa saveur.
Aussitôt son cœur se remplie de joie,
Et lui dit"Je ne me séparerai jamais de toi,
Sans toi la vie est un désert monotone,
Un ciel gris, orageux qui tonne.
Au près de toi, j'écouterai ton ultime récital,
Ma voix, t'accompagne sans cordes, ni métal.
Une sérénade à l'occasion de ta naissance,
Qui fut le jour de ma délivrance.
Je prends pour témoin chaque grain de sable,
Ô! Ma douce source intarissable".
"Ô! Mon nomade charmé par mes reflets argentés,
Au près de moi, que les opprimés trouvent la bonté,
Plonge en moi tes mains, visiblement marquées par le voyage,
Elles retrouveront leur douceur et leur âge".
"Sens-tu mon corps vibrant sous tes caresses,
Ah! Combien de temps perdu de notre jeunesse.
Tes lèvres en moi gracieuses et chaudes,
Pénètrent en moi en longueur d'ondes,
Ô! Mon roi du désert ou plutôt de la terre entière,
Mon corps nu, seuls habits tes cils et paupières;
De ma voie, je sème la vie, tes vers grains nourriciers,
Je suis à toi,ô! Mon preux sourcier".