Hors ligne
Ma vie est d’azur
Ma Muse, ma Bien-Aimée, ma divine,
laisse-moi te conduire
dans le parc de mes vers,
là où les fleurs embaument la terre,
et
l’atlas des galaxies,
là où les ailes des libellules se confondent
avec les étendards de ta Lumière.
Ma vie est d’azur depuis que je te connais,
depuis que tu cisèles à paumes nues
la tapisserie de ma délicatesse,
ma vie est bleue comme la mer de Lesbos
que chanta Sappho, notre prêtresse.
L’arche infinie de tes bras menus m’enveloppe
de la rose de ta Tendresse,
efface avec les hardes des étoiles
le vent de mes soucis.
J’avance maintenant sur la peau nue des jours
en la presqu’île de notre Amour,
dessus l’hostie de ta présence.
Égrène-moi
les strophes de nos rêves,
et
le lac de tes baisers,
avance à pas feutrés
sur les parois des horizons,
sur
l’écorce de ma merveille,
moi ne suis rien
sans le bouquet de tes mots,
guide-moi vers les gerbes de ton Soleil,
et poétise-moi !
Sophie Rivière
Ma Muse, ma Bien-Aimée, ma divine,
laisse-moi te conduire
dans le parc de mes vers,
là où les fleurs embaument la terre,
et
l’atlas des galaxies,
là où les ailes des libellules se confondent
avec les étendards de ta Lumière.
Ma vie est d’azur depuis que je te connais,
depuis que tu cisèles à paumes nues
la tapisserie de ma délicatesse,
ma vie est bleue comme la mer de Lesbos
que chanta Sappho, notre prêtresse.
L’arche infinie de tes bras menus m’enveloppe
de la rose de ta Tendresse,
efface avec les hardes des étoiles
le vent de mes soucis.
J’avance maintenant sur la peau nue des jours
en la presqu’île de notre Amour,
dessus l’hostie de ta présence.
Égrène-moi
les strophes de nos rêves,
et
le lac de tes baisers,
avance à pas feutrés
sur les parois des horizons,
sur
l’écorce de ma merveille,
moi ne suis rien
sans le bouquet de tes mots,
guide-moi vers les gerbes de ton Soleil,
et poétise-moi !
Sophie Rivière