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Mais à la fin! Que voulez-vous ?
Que voulez-vous que je vous taise ?
Que le monde est un vaste champ,
Un océan, une fournaise,
Que l’homme s’y montre méchant
Que d’une paix l’on fait la guerre
Que le silence est inconstant
Que le progrès est un tonnerre
Que le temps nous verra mourant
Que de la terre le partage
A créé l’esprit conquérant
Que l’humain restera sauvage
Tant que le temps sera fuyant.
Que voulez-vous que je vous dise ?
Que l’on peut chercher le bonheur
Que notre planète est exquise
Que les êtres ont parfois du cœur
Que la beauté de la nature
Chaque jour montre ses splendeurs
Qu’il existe encore une eau pure
Que le soleil a ses ardeurs
Et que le temps n’y pouvant rien
Nous succédons à nos aïeux
Chacun devenant un ancien
Si tel est le désir des dieux.
Que voulez-vous que j’abandonne ?
Trop de pensées philosophiques,
L’importance de la personne
Est-elle un sujet de logique ?
Le bon ! Le mauvais ! Quelle affaire !
Faut-il trier tous sentiments
L’âme doit croire ou bien se taire
Où sont les vrais commandements ?
Si c’est l’esprit qui nous domine
Le monde en sera-t-il plus beau
Et la différence voisine
Est- elle un bien ou un fléau.
Que voulez-vous que je murmure
Qu’il faut en tout un peu d’amour
Qu’il n’y a pas de race pure
Que la nuit de l’autre est mon jour
Et que des dieux, la multitude
Se fait une idée différente
Que l’humaine sollicitude
Rend la vie plus intelligente,
Que rien ne justifie la haine
Qui vient entacher notre sphère
Que la bonté est souveraine
Et que le mal est éphémère
Que voulez-vous que je dévoile ?
Que les cœurs toujours ont des corps
Que nous avons tous une étoile
Dont nous sollicitons l’accord
Et que deux vies à l’unisson
Sont susceptibles de désir
Que la vie est une chanson
Où quelques refrains sont plaisir.
Ne vous posez plus de questions
Et laissez-vous parler d’amour
Le mélange des passions
Seul fera le monde moins lourd.
Que voulez-vous que je vous taise ?
Que le monde est un vaste champ,
Un océan, une fournaise,
Que l’homme s’y montre méchant
Que d’une paix l’on fait la guerre
Que le silence est inconstant
Que le progrès est un tonnerre
Que le temps nous verra mourant
Que de la terre le partage
A créé l’esprit conquérant
Que l’humain restera sauvage
Tant que le temps sera fuyant.
Que voulez-vous que je vous dise ?
Que l’on peut chercher le bonheur
Que notre planète est exquise
Que les êtres ont parfois du cœur
Que la beauté de la nature
Chaque jour montre ses splendeurs
Qu’il existe encore une eau pure
Que le soleil a ses ardeurs
Et que le temps n’y pouvant rien
Nous succédons à nos aïeux
Chacun devenant un ancien
Si tel est le désir des dieux.
Que voulez-vous que j’abandonne ?
Trop de pensées philosophiques,
L’importance de la personne
Est-elle un sujet de logique ?
Le bon ! Le mauvais ! Quelle affaire !
Faut-il trier tous sentiments
L’âme doit croire ou bien se taire
Où sont les vrais commandements ?
Si c’est l’esprit qui nous domine
Le monde en sera-t-il plus beau
Et la différence voisine
Est- elle un bien ou un fléau.
Que voulez-vous que je murmure
Qu’il faut en tout un peu d’amour
Qu’il n’y a pas de race pure
Que la nuit de l’autre est mon jour
Et que des dieux, la multitude
Se fait une idée différente
Que l’humaine sollicitude
Rend la vie plus intelligente,
Que rien ne justifie la haine
Qui vient entacher notre sphère
Que la bonté est souveraine
Et que le mal est éphémère
Que voulez-vous que je dévoile ?
Que les cœurs toujours ont des corps
Que nous avons tous une étoile
Dont nous sollicitons l’accord
Et que deux vies à l’unisson
Sont susceptibles de désir
Que la vie est une chanson
Où quelques refrains sont plaisir.
Ne vous posez plus de questions
Et laissez-vous parler d’amour
Le mélange des passions
Seul fera le monde moins lourd.
