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Mais où donc se cache
L’homo politicus sans tâche
Pour des méthodes ordinaires
Il emmerde le populaire
Se fait élire évidemment
Bien que l’on sache qu’il nous ment
Et nous promettant des prodiges
De conneries il nous afflige.
Alors des surenchérisseurs
Plus expert que lui en malheurs
S’en viennent promettre aussitôt
Qu’il mériteront nos bravos
Alors qu’aussi cons que les autres
Ils ne sont d’aucun dieu apôtres.
Mais promettent l’égalité
Figés dans leur médiocrité
Car le système républicain
Qui depuis longtemps n’est plus sain
Permet de trier des nullards
Dont l’un est élus par hasard.
Le sort qui parfois est sévère
Met en présence deux compères
Nuisance et malédiction
Font d’étranges associations
Et l’on a en définitive
Une mandature maladive.
Car des campagnes magouilleuses
Ont l’influence malheureuse
L’internet électoraliste
Devient le guide du fumiste
Et transforme bien des crédules
En manipulés majuscules.
Il faut donc c’est indispensable
Changer les votes lamentables
Et par un contrat provisoire
Tester les raconteurs d’histoire
Virer les vociférateurs
Qui n’ont pas réelle valeur.
Et qui n’auront pas d’aptitude
À nous sortir des turpitudes
Arrêtons le flot des prêcheurs
Qui sont des vociférateurs
Et qui étant théoriciens
Ne connaissent que le tout de rien.
Alors que l’homme politique
Se souciant de la république
N’ayant qu’un parti évident
Ne peut être que bienfaisant
Pour une France apte à mieux plaire
Au peuple son propriétaire.
Car voyez vous le grand malheur
Les démocraties de menteurs
Laissent les presses de notre temps
Nous vendre des incompétents
Et il paraîtrait nécessaire
Qu’un vote en plus puisse se faire
Pour ne pas alourdir l’état
D’un chef ne lui convenant pas
Quand les mensongères campagnes
En font notre mat de cocagne.
Cessons de tenter l’aventure
Ces gens là il faut les exclure.
Et après essai bénéfique
Profitable à la république
On saurait garder celui qui
Possède le talent requis
Pour guider raisonnablement
Le pays sans désagréments.
L’homo politicus sans tâche
Pour des méthodes ordinaires
Il emmerde le populaire
Se fait élire évidemment
Bien que l’on sache qu’il nous ment
Et nous promettant des prodiges
De conneries il nous afflige.
Alors des surenchérisseurs
Plus expert que lui en malheurs
S’en viennent promettre aussitôt
Qu’il mériteront nos bravos
Alors qu’aussi cons que les autres
Ils ne sont d’aucun dieu apôtres.
Mais promettent l’égalité
Figés dans leur médiocrité
Car le système républicain
Qui depuis longtemps n’est plus sain
Permet de trier des nullards
Dont l’un est élus par hasard.
Le sort qui parfois est sévère
Met en présence deux compères
Nuisance et malédiction
Font d’étranges associations
Et l’on a en définitive
Une mandature maladive.
Car des campagnes magouilleuses
Ont l’influence malheureuse
L’internet électoraliste
Devient le guide du fumiste
Et transforme bien des crédules
En manipulés majuscules.
Il faut donc c’est indispensable
Changer les votes lamentables
Et par un contrat provisoire
Tester les raconteurs d’histoire
Virer les vociférateurs
Qui n’ont pas réelle valeur.
Et qui n’auront pas d’aptitude
À nous sortir des turpitudes
Arrêtons le flot des prêcheurs
Qui sont des vociférateurs
Et qui étant théoriciens
Ne connaissent que le tout de rien.
Alors que l’homme politique
Se souciant de la république
N’ayant qu’un parti évident
Ne peut être que bienfaisant
Pour une France apte à mieux plaire
Au peuple son propriétaire.
Car voyez vous le grand malheur
Les démocraties de menteurs
Laissent les presses de notre temps
Nous vendre des incompétents
Et il paraîtrait nécessaire
Qu’un vote en plus puisse se faire
Pour ne pas alourdir l’état
D’un chef ne lui convenant pas
Quand les mensongères campagnes
En font notre mat de cocagne.
Cessons de tenter l’aventure
Ces gens là il faut les exclure.
Et après essai bénéfique
Profitable à la république
On saurait garder celui qui
Possède le talent requis
Pour guider raisonnablement
Le pays sans désagréments.
