- Inscrit
- 19 Octobre 2018
- Messages
- 3,362
- J'aime
- 5,922
- Points
- 173
- Age
- 85
- Localité
- Orléans
- Je suis
- Un homme
Hors ligne
Mauvaise humeur du lundi matin !
À l’origine il y avait
Un créateur, Ève et Adam
Et un gras serpent qui montrait
Déjà contre l’homme une dent.
L’ophidien ayant fait sciences-Po
Fit aussitôt une connerie
Il prit un pommier dans un pot
De la première jardinerie
Et dès qu’il vit mûrir un fruit
Il dit à Ève goûtez moi ça
Le paradis c’est de l’ennui
La pomme est la mère du calva
Lors on connaît bien la suite
La fin du paradis terrestres
Et les humains prenant des cuites
En dessinant des trucs rupestres
En fait la vérité n’est pas
Cette anecdote lamentable
Car Ève au goût fort délicat
Décidant le serpent coupable
En retira de suite la peau
Pour en faire un sac des chaussures
La seule chose qu’il eut de beau
C’était sa cutanée parure
Mais le serpent ayant pondu
Des aberrations politiques
Ses successeurs voulant leur dû
Créèrent l’impôt systématique.
Et par suite on imposa tout
Et même l’arche de Noé
Taxée de la puce au toutou
Eut la vignette canoë
Hommes et serpent qui prolifèrent
Firent une humanité bizarre
Dont aujourd’hui on désespère
L’intelligence devient rare
La philosophie actuelle
A gâché la réalité
En politique intellectuelle
les votants sont manipulés
Il n’empêche que les serpents
ayant variables étiquettes
Pompent constamment notre argent
Sans qu’on puisse éviter leur quête.
Donc il faudrait recommencer
La démarche de démarrage
Ne pas laisser manigancer
Ceux qui nous prennent en otages
Et mettre en un même bocal
Quelque reptile venimeux
Et le politicard banal
Ce vertébrés trop onéreux
J’avais commencé un dico
Des indésirables notoires
Mais j’ai usé mille stylos
Sans voir une fin à l’histoire.
À l’origine il y avait
Un créateur, Ève et Adam
Et un gras serpent qui montrait
Déjà contre l’homme une dent.
L’ophidien ayant fait sciences-Po
Fit aussitôt une connerie
Il prit un pommier dans un pot
De la première jardinerie
Et dès qu’il vit mûrir un fruit
Il dit à Ève goûtez moi ça
Le paradis c’est de l’ennui
La pomme est la mère du calva
Lors on connaît bien la suite
La fin du paradis terrestres
Et les humains prenant des cuites
En dessinant des trucs rupestres
En fait la vérité n’est pas
Cette anecdote lamentable
Car Ève au goût fort délicat
Décidant le serpent coupable
En retira de suite la peau
Pour en faire un sac des chaussures
La seule chose qu’il eut de beau
C’était sa cutanée parure
Mais le serpent ayant pondu
Des aberrations politiques
Ses successeurs voulant leur dû
Créèrent l’impôt systématique.
Et par suite on imposa tout
Et même l’arche de Noé
Taxée de la puce au toutou
Eut la vignette canoë
Hommes et serpent qui prolifèrent
Firent une humanité bizarre
Dont aujourd’hui on désespère
L’intelligence devient rare
La philosophie actuelle
A gâché la réalité
En politique intellectuelle
les votants sont manipulés
Il n’empêche que les serpents
ayant variables étiquettes
Pompent constamment notre argent
Sans qu’on puisse éviter leur quête.
Donc il faudrait recommencer
La démarche de démarrage
Ne pas laisser manigancer
Ceux qui nous prennent en otages
Et mettre en un même bocal
Quelque reptile venimeux
Et le politicard banal
Ce vertébrés trop onéreux
J’avais commencé un dico
Des indésirables notoires
Mais j’ai usé mille stylos
Sans voir une fin à l’histoire.