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ce n'est pas la saison mais qu'importe la poésie s'impose aus quatre saisons!
Mélancolie je t’aime.
Noël joli de mon enfance,
Tu erres froid là sur mon cœur,
Recherchant la douce ambiance
Du matin blanc et son odeur.
Et ça sent bon la mandarine,
Le chocolat, le nougat noir,
Le lait qui bout et je devine
Père Noël dans le couloir.
Il vient discret et se faufile,
Sans bruit son pas est irréel.
Au point du jour voilà qu’il file,
Et disparait au cœur du ciel.
Dans la tiédeur de la cuisine
A petits pas, yeux embrumés,
Vers les cadeaux je m’achemine
Au seuil des rêves parfumés.
De Noëls blancs en printemps roses,
J’ai vu vieillir mes chers enfants ;
Si mes pensées sont bien moroses,
C’est que la vie m’a fait tourments.
Petits enfants et plus encore,
Venez fleurir en mon regard,
Des étoiles jusqu’à l’aurore,
Aussi brillant qu’un étendard.
« A ces Noëls lointains que l’on n’oublie jamais ! »
Margénye
Noël 2011.
Mélancolie je t’aime.
Noël joli de mon enfance,
Tu erres froid là sur mon cœur,
Recherchant la douce ambiance
Du matin blanc et son odeur.
Et ça sent bon la mandarine,
Le chocolat, le nougat noir,
Le lait qui bout et je devine
Père Noël dans le couloir.
Il vient discret et se faufile,
Sans bruit son pas est irréel.
Au point du jour voilà qu’il file,
Et disparait au cœur du ciel.
Dans la tiédeur de la cuisine
A petits pas, yeux embrumés,
Vers les cadeaux je m’achemine
Au seuil des rêves parfumés.
De Noëls blancs en printemps roses,
J’ai vu vieillir mes chers enfants ;
Si mes pensées sont bien moroses,
C’est que la vie m’a fait tourments.
Petits enfants et plus encore,
Venez fleurir en mon regard,
Des étoiles jusqu’à l’aurore,
Aussi brillant qu’un étendard.
« A ces Noëls lointains que l’on n’oublie jamais ! »
Margénye
Noël 2011.