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Poème d'amour Mémoire de juillet

Thierry Cabot

Poète confirmé
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23 Juillet 2019
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#1
Que renaissent baignés de nitescences roses,

Les chaleureux matins sur la colline en fleurs,

Quand l’aurore dansante ouvre les yeux des roses

Et que l’été, grand peintre, y mêle ses couleurs.



Couleurs d’un beau juillet qui dans l’heure première

Joue avec les tons purs des jaunes, des carmins…

Juillet où les habits se gorgent de lumière

Et dont les parfums soûls dévalent les chemins.



Que s’allongent ensuite, ô calme ! ô sourde étreinte !

Les longs après-midi dormant près des cours d’eau,

Tandis que les corps las s’abandonnent sans crainte

A la molle saveur d’éloigner tout fardeau.



Indolence, paresse, abandon, charme d’être ;

Les regards alanguis se font plus caressants ;

Et juillet plein de gloire, ainsi que flambe un maître,

Accroche un sceau vermeil aux lèvres des passants.



Que s’allument enfin les soirs chargés de brises

Qu’au seuil de l’enjôleuse approche de la nuit,

Une musique tiède entre les ombres grises,

Effleure à la façon d’une harpe qui luit ;



Les soirs des amoureux à peine encore sages

Auxquels un baiser d’or fait toucher l’arc-en-ciel ;

Car le jour expirant, juillet, par cent messages,

Etoile chaque don jusqu’au suprême Ciel.
 
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21 Octobre 2018
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#2
Que renaissent baignés de nitescences roses,

Les chaleureux matins sur la colline en fleurs,

Quand l’aurore dansante ouvre les yeux des roses

Et que l’été, grand peintre, y mêle ses couleurs.



Couleurs d’un beau juillet qui dans l’heure première

Joue avec les tons purs des jaunes, des carmins…

Juillet où les habits se gorgent de lumière

Et dont les parfums soûls dévalent les chemins.



Que s’allongent ensuite, ô calme ! ô sourde étreinte !

Les longs après-midi dormant près des cours d’eau,

Tandis que les corps las s’abandonnent sans crainte

A la molle saveur d’éloigner tout fardeau.



Indolence, paresse, abandon, charme d’être ;

Les regards alanguis se font plus caressants ;

Et juillet plein de gloire, ainsi que flambe un maître,

Accroche un sceau vermeil aux lèvres des passants.



Que s’allument enfin les soirs chargés de brises

Qu’au seuil de l’enjôleuse approche de la nuit,

Une musique tiède entre les ombres grises,

Effleure à la façon d’une harpe qui luit ;



Les soirs des amoureux à peine encore sages

Auxquels un baiser d’or fait toucher l’arc-en-ciel ;

Car le jour expirant, juillet, par cent messages,

Etoile chaque don jusqu’au suprême Ciel.
Je retrouve votre belle poésie et cela fait plaisir

Gaby
 
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#3
Que renaissent baignés de nitescences roses,

Les chaleureux matins sur la colline en fleurs,

Quand l’aurore dansante ouvre les yeux des roses

Et que l’été, grand peintre, y mêle ses couleurs.



Couleurs d’un beau juillet qui dans l’heure première

Joue avec les tons purs des jaunes, des carmins…

Juillet où les habits se gorgent de lumière

Et dont les parfums soûls dévalent les chemins.



Que s’allongent ensuite, ô calme ! ô sourde étreinte !

Les longs après-midi dormant près des cours d’eau,

Tandis que les corps las s’abandonnent sans crainte

A la molle saveur d’éloigner tout fardeau.



Indolence, paresse, abandon, charme d’être ;

Les regards alanguis se font plus caressants ;

Et juillet plein de gloire, ainsi que flambe un maître,

Accroche un sceau vermeil aux lèvres des passants.



Que s’allument enfin les soirs chargés de brises

Qu’au seuil de l’enjôleuse approche de la nuit,

Une musique tiède entre les ombres grises,

Effleure à la façon d’une harpe qui luit ;



Les soirs des amoureux à peine encore sages

Auxquels un baiser d’or fait toucher l’arc-en-ciel ;

Car le jour expirant, juillet, par cent messages,

Etoile chaque don jusqu’au suprême Ciel.
sublime et c'est peu dire j'adore ! romantisme impressionnisme...tout y est bravo Vic
 

Oyem

Maître poète
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#7
Que renaissent baignés de nitescences roses,

Les chaleureux matins sur la colline en fleurs,

Quand l’aurore dansante ouvre les yeux des roses

Et que l’été, grand peintre, y mêle ses couleurs.



Couleurs d’un beau juillet qui dans l’heure première

Joue avec les tons purs des jaunes, des carmins…

Juillet où les habits se gorgent de lumière

Et dont les parfums soûls dévalent les chemins.



Que s’allongent ensuite, ô calme ! ô sourde étreinte !

Les longs après-midi dormant près des cours d’eau,

Tandis que les corps las s’abandonnent sans crainte

A la molle saveur d’éloigner tout fardeau.



Indolence, paresse, abandon, charme d’être ;

Les regards alanguis se font plus caressants ;

Et juillet plein de gloire, ainsi que flambe un maître,

Accroche un sceau vermeil aux lèvres des passants.



Que s’allument enfin les soirs chargés de brises

Qu’au seuil de l’enjôleuse approche de la nuit,

Une musique tiède entre les ombres grises,

Effleure à la façon d’une harpe qui luit ;



Les soirs des amoureux à peine encore sages

Auxquels un baiser d’or fait toucher l’arc-en-ciel ;

Car le jour expirant, juillet, par cent messages,

Etoile chaque don jusqu’au suprême Ciel.
Un ravissement pour tous les sens, une approche picturale superbe !
 
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