Mon amour, tu es partie …
Il y a des jours où la peur a choisi d’être là,
Des jours où je pense à nous, surtout à toi.
On croit être invisible face à l’amour,
Une dose de sentiment glamour,
Celui qui envahira tes veines, mon Amour.
Je t’ai vu partir au loin, les mains dans les poches,
Tu ne t’es pas retourné, pourtant j’ai voulu briser la roche.
Je t’ai aimé tellement fort,
Dans le plus profond de mon château-fort.
Mon amour, tu t’en es allé, les larmes aux yeux,
Mon cœur a explosé et pourtant je t’ai dit adieu,
J’aurai voulu te serrer contre moi,
Ce soir où tu as disparu, face aux lois.
Dans mes veines le sang continue de couler,
Mais dans ma cage thoracique, livide,
C’est ton nom qui résonne encore dans le vide,
Tu n’es plus là, tout a basculé.
Je crains maintenant la solitude,
Celle que j’entends dans mon cœur,
Depuis que le tiens a pris de l’altitude,
C’est le vide qui prend de l’ampleur.
Mes pleurs condamnent ma vie,
Les jours où je n’ai plus envie,
Je pense à demain, en espérant,
Qu’un jour je puisse encore tenir ta main.
Les battements de ma poitrine,
Ont cessés de ressentir l’adrénaline,
Est-ce la peur de demain ?
La peur qu’un jour ce ne soit plus humain.
Je voudrais ta présence dans mon lit,
Contre toi je me serais blotti.
Pour oublier ma peine,
Celle qui contient tant de haine….
Il y a des jours où la peur a choisi d’être là,
Des jours où je pense à nous, surtout à toi.
On croit être invisible face à l’amour,
Une dose de sentiment glamour,
Celui qui envahira tes veines, mon Amour.
Je t’ai vu partir au loin, les mains dans les poches,
Tu ne t’es pas retourné, pourtant j’ai voulu briser la roche.
Je t’ai aimé tellement fort,
Dans le plus profond de mon château-fort.
Mon amour, tu t’en es allé, les larmes aux yeux,
Mon cœur a explosé et pourtant je t’ai dit adieu,
J’aurai voulu te serrer contre moi,
Ce soir où tu as disparu, face aux lois.
Dans mes veines le sang continue de couler,
Mais dans ma cage thoracique, livide,
C’est ton nom qui résonne encore dans le vide,
Tu n’es plus là, tout a basculé.
Je crains maintenant la solitude,
Celle que j’entends dans mon cœur,
Depuis que le tiens a pris de l’altitude,
C’est le vide qui prend de l’ampleur.
Mes pleurs condamnent ma vie,
Les jours où je n’ai plus envie,
Je pense à demain, en espérant,
Qu’un jour je puisse encore tenir ta main.
Les battements de ma poitrine,
Ont cessés de ressentir l’adrénaline,
Est-ce la peur de demain ?
La peur qu’un jour ce ne soit plus humain.
Je voudrais ta présence dans mon lit,
Contre toi je me serais blotti.
Pour oublier ma peine,
Celle qui contient tant de haine….