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Quand, je contemple le soleil,
au couchant, avant son sommeil,
c'est comme si, tu étais présent,
il me réchauffe, et je ressens,
une furieuse envie, d’étreindre,
ton corps,qui,seul, pourrait éteindre,
cet incendie, qui brûle en moi,
tant, je suis en manque de toi.
Non,,je ne peux plus, te survivre,
je veux franchir la mer, te suivre,
dans ton éternel paradis,
même, si c'est très loin d'ici.
Amour, sais tu ce que j'entends,
au creux des rochers ruisselants,
des mots tendres, et des murmures,
que ta douce voix me susurre,
comme, des vagues de paroles,
encourageantes, et, je m'envole,
jusqu'à cet horizon, lointain ,
d'ou toi, mon astre, me tends la main.
Vic fevrier 1996
au couchant, avant son sommeil,
c'est comme si, tu étais présent,
il me réchauffe, et je ressens,
une furieuse envie, d’étreindre,
ton corps,qui,seul, pourrait éteindre,
cet incendie, qui brûle en moi,
tant, je suis en manque de toi.
Non,,je ne peux plus, te survivre,
je veux franchir la mer, te suivre,
dans ton éternel paradis,
même, si c'est très loin d'ici.
Amour, sais tu ce que j'entends,
au creux des rochers ruisselants,
des mots tendres, et des murmures,
que ta douce voix me susurre,
comme, des vagues de paroles,
encourageantes, et, je m'envole,
jusqu'à cet horizon, lointain ,
d'ou toi, mon astre, me tends la main.
Vic fevrier 1996
