Hors ligne
Mourir d’oublier
Regarder dans tes yeux où le vide s’installe,
Déceler sur tes dents un sourire inconnu…
Alors qu’il éclatait, sans bruit s’est fait la malle,
Laissant place au néant, qu’est-il donc devenu ?
Impétueuse Annie, passant du rire aux larmes,
Tu as su par amour, mourir face à l’écran.
Et fus ce grand docteur ne baissant pas les armes,
Jouant si bien le jeu, menteur et rassurant.
Ta gouaille sans détour a fait taire plus d’un,
Franche et déterminée et ô combien humaine,
Tu ne repoussais pas de la rue le parfum ;
Ton pas est bienvenu, reçu tel une aubaine.
Ton franc parler me plait et ta désinvolture
A fait de toi amie une star adulée.
La vie t’a cabossée, humiliée, rien ne dure,
Aujourd’hui tu t’en vas…à jamais oubliée.
« En hommage à Annie Girardot »
Margénye, Janine Ravel
LE 1er Mars 2011.
Regarder dans tes yeux où le vide s’installe,
Déceler sur tes dents un sourire inconnu…
Alors qu’il éclatait, sans bruit s’est fait la malle,
Laissant place au néant, qu’est-il donc devenu ?
Impétueuse Annie, passant du rire aux larmes,
Tu as su par amour, mourir face à l’écran.
Et fus ce grand docteur ne baissant pas les armes,
Jouant si bien le jeu, menteur et rassurant.
Ta gouaille sans détour a fait taire plus d’un,
Franche et déterminée et ô combien humaine,
Tu ne repoussais pas de la rue le parfum ;
Ton pas est bienvenu, reçu tel une aubaine.
Ton franc parler me plait et ta désinvolture
A fait de toi amie une star adulée.
La vie t’a cabossée, humiliée, rien ne dure,
Aujourd’hui tu t’en vas…à jamais oubliée.
« En hommage à Annie Girardot »
Margénye, Janine Ravel
LE 1er Mars 2011.