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Moustiquophobie paroxystique
Un moustique ayant pris mon nez pour un parking
Se posa nuitamment sur mon bel appendice
Il était affamé et par jeu ou par vice
Il me fit aussitôt un douloureux piercing.
L’enflure en résultant se fit irritative
D’adéquate pommade enduisant mon tarin
Je fis rire les voisins négligeant mon destin
Se fichant de l’insecte et de son offensive ?
Un clown au nez tout blanc ce n’est pas l’habitude
Ils me conseillèrent donc de changer de couleur
Et ramenant la chose à un petit malheur
Je n’obtins de leur part nulle sollicitude.
L’horoscope du jour me disant exécrable
Je chassai les moustiques en fit un escadron
Que je lâchais le soir devant chaque balcon
Protégeant ma fenêtre d’un retour détestable.
Le lendemain, matin, mes voisins pustulés
Avaient de mes moustiques, subi l’affront piqueur
Et de blanche pommade enduisant leur rougeur
Ils durent soigner leurs pifs, la nuit, inoculés.
Qu’en eut dit La Fontaine ? un poème, une fable ?
Pour dire qu’on ne doit pas d’un tout petit malheur
Se moquer lâchement car souvent le rieur
Peut se voir agresser d’une façon semblable.
Quant aux voisins guéris par l’usage d’onguent
Ils se déboutonnèrent de l’appendice nasal
Mais ma vengeance ayant un coté infernal
Ils firent exorciser tout leur appartement.
Un moustique ayant pris mon nez pour un parking
Se posa nuitamment sur mon bel appendice
Il était affamé et par jeu ou par vice
Il me fit aussitôt un douloureux piercing.
L’enflure en résultant se fit irritative
D’adéquate pommade enduisant mon tarin
Je fis rire les voisins négligeant mon destin
Se fichant de l’insecte et de son offensive ?
Un clown au nez tout blanc ce n’est pas l’habitude
Ils me conseillèrent donc de changer de couleur
Et ramenant la chose à un petit malheur
Je n’obtins de leur part nulle sollicitude.
L’horoscope du jour me disant exécrable
Je chassai les moustiques en fit un escadron
Que je lâchais le soir devant chaque balcon
Protégeant ma fenêtre d’un retour détestable.
Le lendemain, matin, mes voisins pustulés
Avaient de mes moustiques, subi l’affront piqueur
Et de blanche pommade enduisant leur rougeur
Ils durent soigner leurs pifs, la nuit, inoculés.
Qu’en eut dit La Fontaine ? un poème, une fable ?
Pour dire qu’on ne doit pas d’un tout petit malheur
Se moquer lâchement car souvent le rieur
Peut se voir agresser d’une façon semblable.
Quant aux voisins guéris par l’usage d’onguent
Ils se déboutonnèrent de l’appendice nasal
Mais ma vengeance ayant un coté infernal
Ils firent exorciser tout leur appartement.
