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Nos soirs chaleureux (Eros)
Jamais ne s'éteindra la flamme de l'amour
Que je ressens pour toi, celle qui me grandit
Mais aussi la flèche, l'épée que je brandis
Vois ici le récit… que la plèbe savoure…
Nos corps nus sous les draps, et mon cœur mis à nu
S'étreindra d'une Joie, jusque là inconnue
Quand nos corps se tordent, réjouissante torture
Quand nos corps ne font qu'un ! Quand le bonheur perdure !
Quand le doux mal se fait, tout au long de la nuit
Loi de la Nature : doucement tu gémis…
S'endurcit le Bâton ! Le mât hisse la voile !
Plus dur que le béton, je vous en fais la toile !
Non pas un aquilon, mais un vent chaleureux;
Ce Zéphyr calme, puis… va et vient généreux
Lors de nuits où nos corps se tordent trop souvent
L'or d'une tempête puis vient l'ouragan !
Jamais ne s'éteindra la flamme de l'amour
Que je ressens pour toi, celle que l'on savoure
Nos corps nus sous les draps, et mon cœur mis à nu
S'étreignit d'une Joie jusque là inconnue !
Jamais ne s'éteindra la flamme de l'amour
Que je ressens pour toi, celle qui me grandit
Mais aussi la flèche, l'épée que je brandis
Vois ici le récit… que la plèbe savoure…
Nos corps nus sous les draps, et mon cœur mis à nu
S'étreindra d'une Joie, jusque là inconnue
Quand nos corps se tordent, réjouissante torture
Quand nos corps ne font qu'un ! Quand le bonheur perdure !
Quand le doux mal se fait, tout au long de la nuit
Loi de la Nature : doucement tu gémis…
S'endurcit le Bâton ! Le mât hisse la voile !
Plus dur que le béton, je vous en fais la toile !
Non pas un aquilon, mais un vent chaleureux;
Ce Zéphyr calme, puis… va et vient généreux
Lors de nuits où nos corps se tordent trop souvent
L'or d'une tempête puis vient l'ouragan !
Jamais ne s'éteindra la flamme de l'amour
Que je ressens pour toi, celle que l'on savoure
Nos corps nus sous les draps, et mon cœur mis à nu
S'étreignit d'une Joie jusque là inconnue !
J. Lou Baccarra
Le 15 Sept. 2020
Le 15 Sept. 2020