Hors ligne
A qui veut écouter la musique des sages,
Doit se promener, le soir, autour de mon village.
Là, dès que Morphée déroule son voile ensablé,
Chez les grandes demoiselles, c’est l’heure de chanter.
Alors, de tout cotés on voit scintiller,
Des notes rouges inscrites sur d’invisibles portées.
Serait-ce une ode ancienne longtemps oubliée,
Rejouée pour un soir par les belles ailées ?
C’est une chanson d’amour écrite par le vent,
Pour séduire la terre, un soir d’engouement.
Chanson porteuse d’espoir, comme un message,
A faire passer à tous, pour un avenir sans nuage.
De chanteuses la nuit, ces grandes fées,
Se transforment en danseuses, durant la journée.
Gesticulant sans cesse, comme pour nous alerter,
De l’urgence absolue de ne plus polluer.
Et un esprit taquin, ne peut s’empêcher,
De les imaginer vêtues en dames échevelées,
Offertes à tous les vents, burles et giboulées.
Valsant sur nos collines, en vue de les sauver
Les géantes mères n’ont de cesse de tournoyer,
En fredonnant entre elles cet allégro désespéré,
C’est un appel aux hommes de bonne volonté,
Pour une planète propre ou l’on puisse respirer
Doit se promener, le soir, autour de mon village.
Là, dès que Morphée déroule son voile ensablé,
Chez les grandes demoiselles, c’est l’heure de chanter.
Alors, de tout cotés on voit scintiller,
Des notes rouges inscrites sur d’invisibles portées.
Serait-ce une ode ancienne longtemps oubliée,
Rejouée pour un soir par les belles ailées ?
C’est une chanson d’amour écrite par le vent,
Pour séduire la terre, un soir d’engouement.
Chanson porteuse d’espoir, comme un message,
A faire passer à tous, pour un avenir sans nuage.
De chanteuses la nuit, ces grandes fées,
Se transforment en danseuses, durant la journée.
Gesticulant sans cesse, comme pour nous alerter,
De l’urgence absolue de ne plus polluer.
Et un esprit taquin, ne peut s’empêcher,
De les imaginer vêtues en dames échevelées,
Offertes à tous les vents, burles et giboulées.
Valsant sur nos collines, en vue de les sauver
Les géantes mères n’ont de cesse de tournoyer,
En fredonnant entre elles cet allégro désespéré,
C’est un appel aux hommes de bonne volonté,
Pour une planète propre ou l’on puisse respirer