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Où c'est-y qu'on va don ! (ou À force de faire les …!)
Fin deux mille vingt et un vint à tomber la pluie,
Elle était incessante et le jour et la nuit
Le cours des eaux montait en semant la terreur
Un déluge nouveau à l’homme faisait peur.
Or le grand architecte annonça un matin
Cette eau va retirer du monde les humains
Et pour noyer la terre il pleuvra en tous lieux
Car l’homme détruit tout , c’est un pernicieux.
Il faut recommencer; j’ai donc à quai une arche
Pour sauver flore et faune auxquelles je m’attache
Mais nul humain ne vient dans l’embarcation
L’essai numéro un fut une déception.
Je referai peut être avec dextérité
Un être conservant un brin d’humanité
Sachant se contenter de quelque suffisance
Et sans à tout moment montrer son exigence.
Bref la terre fut noyée et l’arche dès l’aurore
Attendit lentement que le flot s’évapore
Pour débarquer à sec ses passagers reclus
Qui trouvaient le transport plus long qu’il n’aurait du.
Hélas l’architecte avait un concurrent
Venant de galaxies où l’espace et le temps
N’avaient point les mesures sur la terre en usage
Et qui réduisit l’arche en un brûlant nuage.
L’architecte nouveau par ambition pure
Voulut peupler le sol de quelques créatures
Et moi je vous écris avec mes tentacules
Ce que mes capteurs voient du chaos majuscule.
Car avec leurs défauts revenant en surface
L’extra terrestre neuf est déjà dégueulasse
Il a l’air bien gentil mais l’intérieur est laid
Le génie qu’il se croit est con comme un balai.
Alors un architecte d’un grade supérieur
Pour éviter de voir de nouvelles horreurs
Transforma tout le monde en chaleur, en lumière,
Puis mit en un trou noir les restes de poussière.
Fin deux mille vingt et un vint à tomber la pluie,
Elle était incessante et le jour et la nuit
Le cours des eaux montait en semant la terreur
Un déluge nouveau à l’homme faisait peur.
Or le grand architecte annonça un matin
Cette eau va retirer du monde les humains
Et pour noyer la terre il pleuvra en tous lieux
Car l’homme détruit tout , c’est un pernicieux.
Il faut recommencer; j’ai donc à quai une arche
Pour sauver flore et faune auxquelles je m’attache
Mais nul humain ne vient dans l’embarcation
L’essai numéro un fut une déception.
Je referai peut être avec dextérité
Un être conservant un brin d’humanité
Sachant se contenter de quelque suffisance
Et sans à tout moment montrer son exigence.
Bref la terre fut noyée et l’arche dès l’aurore
Attendit lentement que le flot s’évapore
Pour débarquer à sec ses passagers reclus
Qui trouvaient le transport plus long qu’il n’aurait du.
Hélas l’architecte avait un concurrent
Venant de galaxies où l’espace et le temps
N’avaient point les mesures sur la terre en usage
Et qui réduisit l’arche en un brûlant nuage.
L’architecte nouveau par ambition pure
Voulut peupler le sol de quelques créatures
Et moi je vous écris avec mes tentacules
Ce que mes capteurs voient du chaos majuscule.
Car avec leurs défauts revenant en surface
L’extra terrestre neuf est déjà dégueulasse
Il a l’air bien gentil mais l’intérieur est laid
Le génie qu’il se croit est con comme un balai.
Alors un architecte d’un grade supérieur
Pour éviter de voir de nouvelles horreurs
Transforma tout le monde en chaleur, en lumière,
Puis mit en un trou noir les restes de poussière.
