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Poème Pauvre planete

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#1
Pauvre planète

Quand vous reverrai je ma mie?
quand reverrai je mes amis?
vous êtes partis les premiers,
ici bas seul je suis resté.
J’attends que la grande faucheuse,
me délivre de cette gueuse,
qu’est devenue la terre entière.
Ce nouveau mal fera l’affaire…...
Quant aux autres je désespère,
attendent ils qu’elle diffère?
qu’elle sorte enfin, du labyrinthe,
ou se perdent toutes les plaintes,
des animaux que l’on massacre,
et des forets aussi noirâtres,
que les âmes des incendiaires,
qui n’ont que faire de la misère,
des tribus, en vain, furibondes.
Quand les incrédules du monde,
n’auront plus le choix de voter,
bernés, comme a l’accoutumée,
par les propos incohérents,
de pervers et vils présidents;
moi je serai, enfin serein,
en tenant à nouveau, ta main.
Je retrouverai, mes amis,
ceux qui naguère, m’ont souri
Comme, la loue, le vieil adage…
la beauté des verts pâturages,
me fera oublier l’ennui,
d’un monde ou tout est perverti........Vic un dimanche de septembre 2020


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#2
Pauvre planète

Quand vous reverrai je ma mie?
quand reverrai je mes amis?
vous êtes partis les premiers,
ici bas seul je suis resté.
J’attends que la grande faucheuse,
me délivre de cette gueuse,
qu’est devenue la terre entière.
Ce nouveau mal fera l’affaire…...
Quant aux autres je désespère,
attendent ils qu’elle diffère?
qu’elle sorte enfin, du labyrinthe,
ou se perdent toutes les plaintes,
des animaux que l’on massacre,
et des forets aussi noirâtres,
que les âmes des incendiaires,
qui n’ont que faire de la misère,
des tribus, en vain, furibondes.
Quand les incrédules du monde,
n’auront plus le choix de voter,
bernés, comme a l’accoutumée,
par les propos incohérents,
de pervers et vils présidents;
moi je serai, enfin serein,
en tenant à nouveau, ta main.
Je retrouverai, mes amis,
ceux qui naguère, m’ont souri
Comme, la loue, le vieil adage…
la beauté des verts pâturages,
me fera oublier l’ennui,
d’un monde ou tout est perverti........Vic un dimanche de septembre 2020


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Triste mais sublime
Amitiés endimanchées
Gaby
 

Gabrielle

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#3
Pauvre planète

Quand vous reverrai je ma mie?
quand reverrai je mes amis?
vous êtes partis les premiers,
ici bas seul je suis resté.
J’attends que la grande faucheuse,
me délivre de cette gueuse,
qu’est devenue la terre entière.
Ce nouveau mal fera l’affaire…...
Quant aux autres je désespère,
attendent ils qu’elle diffère?
qu’elle sorte enfin, du labyrinthe,
ou se perdent toutes les plaintes,
des animaux que l’on massacre,
et des forets aussi noirâtres,
que les âmes des incendiaires,
qui n’ont que faire de la misère,
des tribus, en vain, furibondes.
Quand les incrédules du monde,
n’auront plus le choix de voter,
bernés, comme a l’accoutumée,
par les propos incohérents,
de pervers et vils présidents;
moi je serai, enfin serein,
en tenant à nouveau, ta main.
Je retrouverai, mes amis,
ceux qui naguère, m’ont souri
Comme, la loue, le vieil adage…
la beauté des verts pâturages,
me fera oublier l’ennui,
d’un monde ou tout est perverti........Vic un dimanche de septembre 2020


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une vision très pointue et un poème un peu triste mais superbe, j'adore!
 
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