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Ô sublimes pensées des amours envolés
Quand survenait le soir allongés dans le bois
Il me tenait la mains et des baisers volés
Fusaient de toute part au doux son du hautbois
Il m'en souvient encor nous étions des amants
Et le souffle du vent pour ultime caresse
Sur le mont de Vénus attisait les instants.
De la rose offerte, sa divine déesse
Pensées de chaque jour quand s'éteint le soleil
Laissant la porte ouverte aux rayons de la lune
Les amants épuisés verront en leur sommeil
Sous les draps de satin vibrer petites dunes
Quand survenait le soir allongés dans le bois
Il me tenait la mains et des baisers volés
Fusaient de toute part au doux son du hautbois
Il m'en souvient encor nous étions des amants
Et le souffle du vent pour ultime caresse
Sur le mont de Vénus attisait les instants.
De la rose offerte, sa divine déesse
Pensées de chaque jour quand s'éteint le soleil
Laissant la porte ouverte aux rayons de la lune
Les amants épuisés verront en leur sommeil
Sous les draps de satin vibrer petites dunes