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Petite Capendu
Ma douce tu te fardes,
Pulpeuse, de carmin dans le chaud
Soleil qui sur toi, s'attarde
Et t'illumine dans un dernier sursaut.
Tendrement, il t'enlace,
Réchauffant ta peau satinée,
Et sous le joug de volupté
Le plaisir a rougi ta face.
J'aime à te regarder
Ainsi, dans la brise du soir
Danser, papillonner, évoluer
Sous ton fragile territoire.
Attrayante, appétissante, tu m'attires.
Malgré moi, mes doigts te frôlent,
T'effleurent, te caressent sans contrôle.
A te prendre enfin, ils aspirent
Nostalgique de ta douceur velouté,
Te laissant là, auréolée
D'un vert écrin de velours qui te pare.
Au supplice de tantale
Je te nomme à ma guise,
Objet de désir et de convoitise
Jusqu'à ta fin fatale.
Tes effluves parfumés embaument
L'atmosphère, excitant mes sens.
Je te devine dans cet arôme,
Sucrée, savoureuse, réjouissance
Du palais, divine magicienne.
L'eau à la bouche, un peu loufoque,
D'une main rabelaisienne
Je te saisie et enfin ... je te croque.
Pulpeuse, de carmin dans le chaud
Soleil qui sur toi, s'attarde
Et t'illumine dans un dernier sursaut.
Tendrement, il t'enlace,
Réchauffant ta peau satinée,
Et sous le joug de volupté
Le plaisir a rougi ta face.
J'aime à te regarder
Ainsi, dans la brise du soir
Danser, papillonner, évoluer
Sous ton fragile territoire.
Attrayante, appétissante, tu m'attires.
Malgré moi, mes doigts te frôlent,
T'effleurent, te caressent sans contrôle.
A te prendre enfin, ils aspirent
Nostalgique de ta douceur velouté,
Te laissant là, auréolée
D'un vert écrin de velours qui te pare.
Au supplice de tantale
Je te nomme à ma guise,
Objet de désir et de convoitise
Jusqu'à ta fin fatale.
Tes effluves parfumés embaument
L'atmosphère, excitant mes sens.
Je te devine dans cet arôme,
Sucrée, savoureuse, réjouissance
Du palais, divine magicienne.
L'eau à la bouche, un peu loufoque,
D'une main rabelaisienne
Je te saisie et enfin ... je te croque.
en l'honneur du croqueur de pommes
* variété de pomme rouge
© Gabrielle. E.