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J'aime ces petits matins coquins,
D'un baiser dans le cou, je me fais câlin,
De la fente entrouverte de ta nuisette,
A la douce descente de tes gambettes,
Mes mains expertes content fleurette,
Donnent à ton corps les courbettes.
J'aime quand je t'admire doudou,
Posant mon regard mutin de filou,
Sur le jardin de tes charmes sans tabous,
A saouler mes fous désirs de Casanova
De baisers interstellaires sur tes courbes de Diva,
Réussir à te faire défaillir sur le sofa.
J'aime quand explose toute ta galaxie,
Les étincelles chaudes qui chassent l'ennui,
L'effleurement de nos esprits en harmonie,
L'embrassement de nos envies sorties de leur léthargie.
Quand nos deux corps s'embrasent de passion
Sur l'écume de l'amour en ébullition.
Dans des contractures au rythme endiablé,
Par l’incandescent désir,on se retrouve encerclés,
Gonflent tes seins de plaisir à peine caché,
S'envole l'accord de nos soupirs lâchés,
Le crescendo des plaintes de nos sens en folie.
Sous tes paupières se meure mon regard de braise,
Douce est la chute de nos soumissions amoureuses,
Au pied de l'inévitable falaise,
Le vent des soupirs du royaume serein,
Vidés, repus, riches du bonheur enfin,
On dort d'un sommeil doux et serein,
Quand s'efface la pudeur de ces petits matins coquins.
D'un baiser dans le cou, je me fais câlin,
De la fente entrouverte de ta nuisette,
A la douce descente de tes gambettes,
Mes mains expertes content fleurette,
Donnent à ton corps les courbettes.
J'aime quand je t'admire doudou,
Posant mon regard mutin de filou,
Sur le jardin de tes charmes sans tabous,
A saouler mes fous désirs de Casanova
De baisers interstellaires sur tes courbes de Diva,
Réussir à te faire défaillir sur le sofa.
J'aime quand explose toute ta galaxie,
Les étincelles chaudes qui chassent l'ennui,
L'effleurement de nos esprits en harmonie,
L'embrassement de nos envies sorties de leur léthargie.
Quand nos deux corps s'embrasent de passion
Sur l'écume de l'amour en ébullition.
Dans des contractures au rythme endiablé,
Par l’incandescent désir,on se retrouve encerclés,
Gonflent tes seins de plaisir à peine caché,
S'envole l'accord de nos soupirs lâchés,
Le crescendo des plaintes de nos sens en folie.
Sous tes paupières se meure mon regard de braise,
Douce est la chute de nos soumissions amoureuses,
Au pied de l'inévitable falaise,
Le vent des soupirs du royaume serein,
Vidés, repus, riches du bonheur enfin,
On dort d'un sommeil doux et serein,
Quand s'efface la pudeur de ces petits matins coquins.