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Tous ce que tu m’as volé
Tu m’as volé l’espoir,
L’espoir de croire en un monde joyeux
Un monde où j’aurai pu me reconstruire.
L’espoir que j’avais construit pour nous
Et pour ce que nous aurons pu construire.
Tu m’as volé toutes les larmes,
Toutes les larmes qui beigne le creux de mes yeux
Pour toi.
Toutes les larmes affluentes à la peine de mon cœur
Qui le ronge peu à peu.
Tu m’as volé le sourire,
Ton sourire si radieux
Qui éclairais mon monde maussade.
Mon sourire qui n’existait que pour toi
Et qui retourne vers une dérive infinie.
Tu m’as volé les yeux,
Tes yeux doux qui berçaient mes journées
Et qui me perdaient dans un torrent de sentiments.
Tes yeux qui étaient la fenêtre sur ton âme
Dont le souvenir ne mourra jamais.
Tu m’as volé ce cœur,
Ce cœur qui abritait tous ces sentiments
Que j’avais bâti à ton effigie.
Ce cœur qui maintenant ne trouve plus de raison
De battre ni d’aimer.
Max
Tu m’as volé l’espoir,
L’espoir de croire en un monde joyeux
Un monde où j’aurai pu me reconstruire.
L’espoir que j’avais construit pour nous
Et pour ce que nous aurons pu construire.
Tu m’as volé toutes les larmes,
Toutes les larmes qui beigne le creux de mes yeux
Pour toi.
Toutes les larmes affluentes à la peine de mon cœur
Qui le ronge peu à peu.
Tu m’as volé le sourire,
Ton sourire si radieux
Qui éclairais mon monde maussade.
Mon sourire qui n’existait que pour toi
Et qui retourne vers une dérive infinie.
Tu m’as volé les yeux,
Tes yeux doux qui berçaient mes journées
Et qui me perdaient dans un torrent de sentiments.
Tes yeux qui étaient la fenêtre sur ton âme
Dont le souvenir ne mourra jamais.
Tu m’as volé ce cœur,
Ce cœur qui abritait tous ces sentiments
Que j’avais bâti à ton effigie.
Ce cœur qui maintenant ne trouve plus de raison
De battre ni d’aimer.
Max