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Pour financer l'echec taxer les réussites
est une idée d'élus dont la raison s'irrite!
Pierrette chaque jour allait à la fontaine
Et pour ne point briser l'utile contenant
Elle avait une cruche en métal résistant
Dont la solidité était dite certaine.
Elle y trouva un jour sa voisine Germaine
Qui avait un vieux broc d'un grès peu avenant
Et qui sans le souci de l'objet permanent
Savait que sa durée allait être incertaine.
Pierrette l'économe à la cruche durable
N'eut jamais le besoin d'une aide secourable.
Germaine se foutant du bris du contenant
Demanda à l'état une somme capable
De remplacer le pot allant agonisant
Et l'on prit sur l’impôt le fric du pot cassable.
Hélas pour le pays on colla aux finances
Germaine qui du fric ne se souciait pas
Qui de l'économie ignorant les tracas
Fit à Pierrette gérer toutes les redevances.
Un compteur découvrant la sotte extravagance
Décida d'arreter Germaine et ses ébats
Qui casse maintenant règlera les dégâts
Et on la fit payer du dit pot la faïence
Car si l'argent gagné mérite qu'on le compte
Il faut le dépenser avec parcimonie
Toute facture indue est source d'une honte
Et comme il faudra bien sauver l'économie
Fuyons les sots discours et les fallacieux contes
Exposons sans mentir du moment les soucis.
Hélas la sottise étant étant fort répandue
Pour trouver de l'argent on fit n'importe quoi
Aux ignares élus on accorda sa foi
Bien qu'ils osent taxer les petits revenus
Car la fiscalité perdant sa retenue
A le chien T.V.A. qui sans arrêt aboie
On peut politiser sans connaitre le droit
Mentir aux citoyens fait la sottise élue.
Et le comble de tout c'est que l'incompétence
Taxe les méritants pour payer ses erreurs
La politique détruit sans souci d'indescence
Celui qui au pays a donné des emplois
Et qui voit menacé le fruit de son labeur
Par des ignares élus qui bricolent les lois.
Taxer les réussites est des sots le délice
Tous les loghoreiques l'expliquent aux ignares
Les fainéants souvents peuvent trouver bizarre
Que les laborieux quelques fois s'enrichissent
Alors sans rechercher où finances périsssent
De cupides élus dont les esprits s'égarent
Sans voir le déficit que leurs idées préparent
Ajoutent aux déficit de nouveaux maléfices
Il suffirait qu'un jour Zeus ,contrôlant tout
Abroge les partis aptes à tout déranger
Pour que du déficit on percoive le bout
Mais avant l'electeur ne se laissant gruger
Dirait aux politique allez rentrez chez vous
Il nous faut des élus capable de gérer.
est une idée d'élus dont la raison s'irrite!
Pierrette chaque jour allait à la fontaine
Et pour ne point briser l'utile contenant
Elle avait une cruche en métal résistant
Dont la solidité était dite certaine.
Elle y trouva un jour sa voisine Germaine
Qui avait un vieux broc d'un grès peu avenant
Et qui sans le souci de l'objet permanent
Savait que sa durée allait être incertaine.
Pierrette l'économe à la cruche durable
N'eut jamais le besoin d'une aide secourable.
Germaine se foutant du bris du contenant
Demanda à l'état une somme capable
De remplacer le pot allant agonisant
Et l'on prit sur l’impôt le fric du pot cassable.
Hélas pour le pays on colla aux finances
Germaine qui du fric ne se souciait pas
Qui de l'économie ignorant les tracas
Fit à Pierrette gérer toutes les redevances.
Un compteur découvrant la sotte extravagance
Décida d'arreter Germaine et ses ébats
Qui casse maintenant règlera les dégâts
Et on la fit payer du dit pot la faïence
Car si l'argent gagné mérite qu'on le compte
Il faut le dépenser avec parcimonie
Toute facture indue est source d'une honte
Et comme il faudra bien sauver l'économie
Fuyons les sots discours et les fallacieux contes
Exposons sans mentir du moment les soucis.
Hélas la sottise étant étant fort répandue
Pour trouver de l'argent on fit n'importe quoi
Aux ignares élus on accorda sa foi
Bien qu'ils osent taxer les petits revenus
Car la fiscalité perdant sa retenue
A le chien T.V.A. qui sans arrêt aboie
On peut politiser sans connaitre le droit
Mentir aux citoyens fait la sottise élue.
Et le comble de tout c'est que l'incompétence
Taxe les méritants pour payer ses erreurs
La politique détruit sans souci d'indescence
Celui qui au pays a donné des emplois
Et qui voit menacé le fruit de son labeur
Par des ignares élus qui bricolent les lois.
Taxer les réussites est des sots le délice
Tous les loghoreiques l'expliquent aux ignares
Les fainéants souvents peuvent trouver bizarre
Que les laborieux quelques fois s'enrichissent
Alors sans rechercher où finances périsssent
De cupides élus dont les esprits s'égarent
Sans voir le déficit que leurs idées préparent
Ajoutent aux déficit de nouveaux maléfices
Il suffirait qu'un jour Zeus ,contrôlant tout
Abroge les partis aptes à tout déranger
Pour que du déficit on percoive le bout
Mais avant l'electeur ne se laissant gruger
Dirait aux politique allez rentrez chez vous
Il nous faut des élus capable de gérer.