écho à : << Pour toi, maman >> de Gaby
Essai d'acrostiche : << Je t'aime tant Nadine >>
Je t'aime comme un fils, comme ton descendant,
Et ce, depuis jadis, que tu m'as pris enfant...
Ton amour infini toujours je le ressens...
Ah... ma chère maman... de coeur... depuis longtemps,
Indécis mais aimant, fors mon éloignement,
Mon coeur t'ouvre ses bras, par ses chuchotements,
Et depuis tant de temps que je vis loin de toi,
Ton coeur est tout en moi, ça j'en fais le serment !
A Ganac ton confort m'accueille tant de fois,
Nonobstant mes efforts de t'inviter chez moi,
Toulouse et ses abords t'indisposent, ma foi...
Nous sommes Castillo, au milieu de Fassot,
Attribut familial qui ne reste qu'un mot,
D'un ton patronymique au parfum illusoire,
Inodore et chimique, un vain accessoire,
Nonobstant ton filial et dynamique amour,
En l'enfant que j'étais... et que je suis toujours !
21 janvier 2019